Alors que se déroule la Conférence environnementale pour le Climat à Paris (COP21), une étude commandée au chercheur Sylvain Brouard révèle le rapport délicat existant entre les Français et les problématiques environnementales.
Un article en ligne du journal le Parisien explique comment cette enquête « confirme l’intérêt positif et croissant des Français pour la protection de l’environnement sous toutes ses formes et modalités. »
Un article en ligne du journal le Parisien explique comment cette enquête « confirme l’intérêt positif et croissant des Français pour la protection de l’environnement sous toutes ses formes et modalités. »
Une opinion « majoritairement pro-environnementale »
L’article explique que l’étude s’est « appuyée sur les résultats des baromètres des priorités politiques et des dynamiques électorales TNS Sofrès-Cevipof-LIEPP », ajoutant que l’enquête révèle d’abord « l’intérêt positif et croissant des Français pour la protection de l’environnement sous toutes ses formes et modalités : énergies renouvelables, lutte contre le réchauffement climatique, taxes sur les activités polluantes (approuvées par 60% des sondés). »
En effet, « quelles que soient les sensibilités politiques, une majorité se dégage sur ces questions environnementales qui ne sont donc pas clivantes. »
Sylvain Brouard explique ainsi au Parisien que « l’opinion est majoritairement pro-environnementale » et que « la majorité des sympathisants de l’ensemble des partis est également favorable à une intensification de la protection de l’environnement (...) Il n’y a pas de polarisation décelable dans l’opinion en termes de position sur la protection de l’environnement. »
Cependant, l’article précise que « si tout le monde est pour, certains le sont pourtant plus que d’autres », car « l’intensité d’adhésion aux thèmes environnementaux varie nettement selon les sensibilités politiques. L’étude réserve en effet quelques surprises : si l’on ne s’étonnera pas de retrouver en haut de l’échelle de l’attitude pro-environnementale les électeurs écologistes, on découvre en revanche que ceux du Front de gauche ont la fibre plus écolo que les sympathisants PS. En queue de peloton viennent les électeurs FN et LR (ex-UMP). »
Enfin, l’article du Parisien souligne que « le second volet de la note de la Fondation Jean Jaurès apporte un sérieux correctif à l’impression optimiste qui se dégage de la première partie », car « si les Français ont un oeil sur l’environnement, ils ne le mettent pas au premier rang de leurs préoccupations. »
Lire l'intégralité de l'article du Parisien ici
En effet, « quelles que soient les sensibilités politiques, une majorité se dégage sur ces questions environnementales qui ne sont donc pas clivantes. »
Sylvain Brouard explique ainsi au Parisien que « l’opinion est majoritairement pro-environnementale » et que « la majorité des sympathisants de l’ensemble des partis est également favorable à une intensification de la protection de l’environnement (...) Il n’y a pas de polarisation décelable dans l’opinion en termes de position sur la protection de l’environnement. »
Cependant, l’article précise que « si tout le monde est pour, certains le sont pourtant plus que d’autres », car « l’intensité d’adhésion aux thèmes environnementaux varie nettement selon les sensibilités politiques. L’étude réserve en effet quelques surprises : si l’on ne s’étonnera pas de retrouver en haut de l’échelle de l’attitude pro-environnementale les électeurs écologistes, on découvre en revanche que ceux du Front de gauche ont la fibre plus écolo que les sympathisants PS. En queue de peloton viennent les électeurs FN et LR (ex-UMP). »
Enfin, l’article du Parisien souligne que « le second volet de la note de la Fondation Jean Jaurès apporte un sérieux correctif à l’impression optimiste qui se dégage de la première partie », car « si les Français ont un oeil sur l’environnement, ils ne le mettent pas au premier rang de leurs préoccupations. »
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