Source : Pixabay, image libre de droits.
Pendant la cérémonie traditionnelle du Rwanda, qui fête la naissance des « bébés gorilles », le Président, Paul Kagame, s'est exprimé en insistant sur l’importance des ressources naturelles pour le peuple. L’occasion d’annoncer une nouvelle mesure pour le pays : la redistribution de 5% des revenus du secteur minier.
Un communiqué de KT Press souligne les enjeux importants de cette déclaration.
Un communiqué de KT Press souligne les enjeux importants de cette déclaration.
Exploiter à profit l'environnement
Le Président rwandais a déclaré que « les citoyens rwandais doivent continuer à protéger leurs ressources naturelles et exploiter à leur profit leur environnement, pour dépasser leur seuil de pauvreté », ajoutant : « nous devons tout utiliser pour nous enrichir coûte que coûte et nous devons dépasser le cap de la pauvreté, par nous-mêmes. »
Le communiqué explique qu’au-delà des déclarations de Paul Kagame, les autorités avaient déjà mis en place « une étroite collaboration, avec ceux qui habitent aux abords des montagnes abritant les gorilles, ou autres sites touristiques importants. »
En effet, « le contact a été pris avec des anciens braconniers, afin de leur proposer de devenir de véritables partenaires clés dans les efforts de conservation de la nature. » Le communiqué poursuit, précisant que « certains sont devenus des guides, d'autres des gardiens ou des porteurs pour les touristes qui doivent escalader la montagne avant de rencontrer les familles de gorilles. Ils ont ainsi accepté de ‘changer de camp’, et sont rémunérés par les autorités pour préserver les richesses naturelles du pays. »
Ainsi, « cela fait déjà quelques années que les autorités redistribuent 5% des revenus issus du tourisme, aux collectivités locales se situant aux abords des sites. » Des écoles ont par conséquent pu être construites, « avec accès internet permettant aux enfants de s'ouvrir au monde, alors qu'ils sont géographiquement complétement isolés ».
Grâce au tourisme, divers coins retirés ont aujourd'hui « accès à l'eau potable, à l'électricité et autres commodités qui améliorent sensiblement la vie de ces habitants ». Le communiqué met en avant l’action de « Rwanda Development Board » (RDB) et le « Fonds International Dian FOSSEY Gorilla », partenaires essentiels dans ces actions menées sur le terrain.
Le communiqué explique qu’au-delà des déclarations de Paul Kagame, les autorités avaient déjà mis en place « une étroite collaboration, avec ceux qui habitent aux abords des montagnes abritant les gorilles, ou autres sites touristiques importants. »
En effet, « le contact a été pris avec des anciens braconniers, afin de leur proposer de devenir de véritables partenaires clés dans les efforts de conservation de la nature. » Le communiqué poursuit, précisant que « certains sont devenus des guides, d'autres des gardiens ou des porteurs pour les touristes qui doivent escalader la montagne avant de rencontrer les familles de gorilles. Ils ont ainsi accepté de ‘changer de camp’, et sont rémunérés par les autorités pour préserver les richesses naturelles du pays. »
Ainsi, « cela fait déjà quelques années que les autorités redistribuent 5% des revenus issus du tourisme, aux collectivités locales se situant aux abords des sites. » Des écoles ont par conséquent pu être construites, « avec accès internet permettant aux enfants de s'ouvrir au monde, alors qu'ils sont géographiquement complétement isolés ».
Grâce au tourisme, divers coins retirés ont aujourd'hui « accès à l'eau potable, à l'électricité et autres commodités qui améliorent sensiblement la vie de ces habitants ». Le communiqué met en avant l’action de « Rwanda Development Board » (RDB) et le « Fonds International Dian FOSSEY Gorilla », partenaires essentiels dans ces actions menées sur le terrain.