La prime à l’achat d’Etat pour les vélos électriques et autres appareils de ce type fait l’unanimité des associations de défense de l’environnement et de lutte contre le réchauffement climatique.
« Le vélo à assistance électrique (VAE) permet de réduire la pollution de l'air par rapport aux deux-roues motorisés et aux voitures, tout en allégeant les efforts et la sur-ventilation des cyclistes fragiles. C'est aussi une solution pour la nécessaire réduction des émissions de gaz à effet de serre des transports, en particulier en zone périurbaine ou rurale où les solutions de transports publics sont moins développées » explique le Réseau Action Climat (RAC) dans un communiqué dédié.
La mesure qui vient d’être publiée dans le Journal Officiel plait aux associations qui y voient une démonstration du volontarisme du gouvernement dans le domaine. « Nous sommes convaincus que cette mesure permettra à de nombreux Français d'accéder à une mobilité propre, durable, tout en confortant une filière industrielle en plein essor et créatrice d'emplois locaux. Le tout permet également d'agir contre le fléau de la sédentarisation des Français » continue le texte.
D’après des chiffres de l’Ademe, une personne sur deux qui fait appel à une aide d’achat pour un vélo électrique le fait pour remplacer l’utilisation de la voiture. Le levier d’action est donc efficace puisque, rappelle le RAC, la moitié des trajets en voitures sont sur des distances inférieures à 3 km.
Les militants espèrent maintenant que cette mesure est le premier pas vers une politique nationale qui met l’accent sur la marche et le vélo. « Avec la mise en place d'un fonds national vélo, la France serait ainsi le premier pays à répondre à l'appel des Nations Unies qui recommande de consacrer au minimum 20% du budget transports aux mobilités actives (marche et vélo). L'organisation internationale en fait une condition d'atteinte des objectifs climatiques, mais également une exigence de santé publique et d'amélioration de la qualité de l'air » conclue le communiqué.
« Le vélo à assistance électrique (VAE) permet de réduire la pollution de l'air par rapport aux deux-roues motorisés et aux voitures, tout en allégeant les efforts et la sur-ventilation des cyclistes fragiles. C'est aussi une solution pour la nécessaire réduction des émissions de gaz à effet de serre des transports, en particulier en zone périurbaine ou rurale où les solutions de transports publics sont moins développées » explique le Réseau Action Climat (RAC) dans un communiqué dédié.
La mesure qui vient d’être publiée dans le Journal Officiel plait aux associations qui y voient une démonstration du volontarisme du gouvernement dans le domaine. « Nous sommes convaincus que cette mesure permettra à de nombreux Français d'accéder à une mobilité propre, durable, tout en confortant une filière industrielle en plein essor et créatrice d'emplois locaux. Le tout permet également d'agir contre le fléau de la sédentarisation des Français » continue le texte.
D’après des chiffres de l’Ademe, une personne sur deux qui fait appel à une aide d’achat pour un vélo électrique le fait pour remplacer l’utilisation de la voiture. Le levier d’action est donc efficace puisque, rappelle le RAC, la moitié des trajets en voitures sont sur des distances inférieures à 3 km.
Les militants espèrent maintenant que cette mesure est le premier pas vers une politique nationale qui met l’accent sur la marche et le vélo. « Avec la mise en place d'un fonds national vélo, la France serait ainsi le premier pays à répondre à l'appel des Nations Unies qui recommande de consacrer au minimum 20% du budget transports aux mobilités actives (marche et vélo). L'organisation internationale en fait une condition d'atteinte des objectifs climatiques, mais également une exigence de santé publique et d'amélioration de la qualité de l'air » conclue le communiqué.