DR EU
Dans un rapport publié le 4 novembre, le JRC craint la pénurie de métaux « stratégiques » parce qu’utilisés par les nouvelles technologies énergétiques à faible émission de carbone. Technologies qui ont été mises en avant par l’UE dans la décarbonisation de l’énergie.
Le rapport dresse la liste de douze de ces métaux qui sont dans des situations « critiques et quasi-critiques ». Le risque de pénurie proviendra de la nécessité d’importer à partir de 2020 et donc de « dépendance de l’UE sur les importations, de la demande croissante à travers le monde et des raisons géopolitiques ». L’UE serait dans une situation délicate en dépendant de nouveau très largement des importations, particulièrement de la Chine, dans le domaine énergétique.
Parmi les douze métaux identifiés, huit sont classés « à haut risque ». Ils sont notamment utiles à la miniaturisation de technologies, pour les véhicules électriques, l’éolien, le solaire et l’éclairage. L’explosion de la demande mondiale pour ces métaux modifie considérablement les cours et les prix mais surtout les réserves disponibles.
Le rapport dresse la liste de douze de ces métaux qui sont dans des situations « critiques et quasi-critiques ». Le risque de pénurie proviendra de la nécessité d’importer à partir de 2020 et donc de « dépendance de l’UE sur les importations, de la demande croissante à travers le monde et des raisons géopolitiques ». L’UE serait dans une situation délicate en dépendant de nouveau très largement des importations, particulièrement de la Chine, dans le domaine énergétique.
Parmi les douze métaux identifiés, huit sont classés « à haut risque ». Ils sont notamment utiles à la miniaturisation de technologies, pour les véhicules électriques, l’éolien, le solaire et l’éclairage. L’explosion de la demande mondiale pour ces métaux modifie considérablement les cours et les prix mais surtout les réserves disponibles.
Augmentation de l’offre et recyclage comme solution
Les rédacteurs du rapport expliquent qu’il faut augmenter l’offre primaire et s’engager dans le recyclage pour lutter contre les risques de pénurie. Il faudra ainsi travailler à faire augmenter les taux de recyclage tout en étudiant en parallèle les possibilités de substitution des métaux les plus rares ou à risque.
La solution serait alors de mettre l’accent sur la recherche et le développement. Les situations sont différentes selon les métaux, la zone européenne pourrait espérer être autosuffisante en gallium et tellure par exemple, utiles pour l’énergie solaire. Il faudrait que les autorités créent « de nouvelles raffineries pour stimuler la reprise de ces matériaux. »
Pour les autres métaux, et notamment les plus concernés par les risques de pénurie, les chercheurs se déclarent pour la limitation voire le remplacement complet. Enfin, le JRC explique qu’il « existe de nombreuses stratégies d’atténuation des risques disponibles mais une combinaison d’actions est requise de la part des gouvernements et des industriels.»
Bilan de la recherche
La solution serait alors de mettre l’accent sur la recherche et le développement. Les situations sont différentes selon les métaux, la zone européenne pourrait espérer être autosuffisante en gallium et tellure par exemple, utiles pour l’énergie solaire. Il faudrait que les autorités créent « de nouvelles raffineries pour stimuler la reprise de ces matériaux. »
Pour les autres métaux, et notamment les plus concernés par les risques de pénurie, les chercheurs se déclarent pour la limitation voire le remplacement complet. Enfin, le JRC explique qu’il « existe de nombreuses stratégies d’atténuation des risques disponibles mais une combinaison d’actions est requise de la part des gouvernements et des industriels.»
Bilan de la recherche