Un article en ligne du journal Le Monde explique que « le cabinet spécialisé dans la prévention et la gestion des risques psychosociaux »,Psya, a organisé en mai dernier « un colloque sur le sujet réunissant spécialistes et professionnels des ressources humaines. » Ce colloque proposait ainsi des solutions pour passer de la théorie à la pratique.
La qualité de vie au travail, un sujet qui fait consensus
L’article souligne que « différents experts et professionnels se sont relayés pour apporter des éléments de réflexion stratégique et des outils pour déployer de façon opérationnelle une politique de qualité de vie au travail. »
Bénédicte Ravache, secrétaire nationale de l’Association nationale des DRH (Andrh), constate : « Intuitivement, tout le monde perçoit ce qu’est la qualité de vie au travail (QVT), mais pas forcément de façon concrète et structurée. »
Valérie Combette-Javault, responsable audit-conseil au sein de Psya, assure quant à elle : « Au Canada, la qualité de vie au travail a été abordée par l’angle des habitudes de vie (santé, sommeil, alimentation), un sujet qui fait consensus. Les entreprises se sont fait le relais des messages de santé publique. C’est une manière d’entrer en action dans le champ du bien-être et de la qualité de vie au travail. »
Lire l’intégralité de l’article du Monde ici.
Bénédicte Ravache, secrétaire nationale de l’Association nationale des DRH (Andrh), constate : « Intuitivement, tout le monde perçoit ce qu’est la qualité de vie au travail (QVT), mais pas forcément de façon concrète et structurée. »
Valérie Combette-Javault, responsable audit-conseil au sein de Psya, assure quant à elle : « Au Canada, la qualité de vie au travail a été abordée par l’angle des habitudes de vie (santé, sommeil, alimentation), un sujet qui fait consensus. Les entreprises se sont fait le relais des messages de santé publique. C’est une manière d’entrer en action dans le champ du bien-être et de la qualité de vie au travail. »
Car le Canada a mis au point en 2009 « une norme 'Entreprise en santé' qui cible les interventions des entreprises dans quatre sphères reconnues pour leur impact sur la santé du personnel : les habitudes de vie, les pratiques de conciliation travail/vie personnelle, les pratiques de gestion et l’environnement du travail. »
Lire l’intégralité de l’article du Monde ici.