Nos modes de vies et notre empreinte écologique seraient à l’origine de la disparition de la moitié des espèces sauvages en seulement quarante ans. C’est ce que révèle le dernier rapport « Planète Vivante » publié par l’ONG WWF. « Le constat n'est pas nouveau mais son ampleur est impressionnante : les populations de poissons, d'oiseaux, de mammifères, d'amphibiens et de reptiles ont régressé en moyenne de 52 % depuis 1970 » souligne le magazine La Vie.
Ce dixième rapport bisannuel de l’association a été réalisé en partenariat avec la Zoological Society of London et les ONG Global Footprint Network et Water Footprint Network. Il se base sur l’observation de 10 380 populations de plus de 3 000 espèces des quatre coins du monde. De manière générale, ce sont les espèces d’eau douce qui sont les plus touchées par ce phénomène avec une baisse de 76%, soit deux fois plus que les espèces d’autres milieux naturels.
Ce dixième rapport bisannuel de l’association a été réalisé en partenariat avec la Zoological Society of London et les ONG Global Footprint Network et Water Footprint Network. Il se base sur l’observation de 10 380 populations de plus de 3 000 espèces des quatre coins du monde. De manière générale, ce sont les espèces d’eau douce qui sont les plus touchées par ce phénomène avec une baisse de 76%, soit deux fois plus que les espèces d’autres milieux naturels.
Régions tropicales les plus touchées
De fortes disparités sont relevées selon les régions observées. Ainsi, les zones tropicale enregistrent une baisse des espèces de 56% contre 36% dans les zones tempérées. Le continent le plus touché est l’Amérique du Sud où une diminution de 86% a été calculée.
Le rapport relève aussi les différentes causes de cette tendance négative. Parmi celles-ci on retrouve le dérèglement climatique – pourtant difficile à mesurer – l’agriculture intensive, le braconnage et la surpêche. Avec ce rapport aux résultats très négatifs, la WWF veut continuer à envoyer des signaux forts aux pouvoirs politiques pour qu’ils agissent plus fermement dans le dossier du réchauffement climatique et de la protection de l’environnement.
Il y a quelques semaines, cette même ONG, avait lancé un vaste plan de communication autour de la consommation mondiale, expliquant qu’en août nous avions déjà « consommé l’intégralité des ressources » de 2014 (notre article).
Le rapport relève aussi les différentes causes de cette tendance négative. Parmi celles-ci on retrouve le dérèglement climatique – pourtant difficile à mesurer – l’agriculture intensive, le braconnage et la surpêche. Avec ce rapport aux résultats très négatifs, la WWF veut continuer à envoyer des signaux forts aux pouvoirs politiques pour qu’ils agissent plus fermement dans le dossier du réchauffement climatique et de la protection de l’environnement.
Il y a quelques semaines, cette même ONG, avait lancé un vaste plan de communication autour de la consommation mondiale, expliquant qu’en août nous avions déjà « consommé l’intégralité des ressources » de 2014 (notre article).