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Royaume-Uni, Israël ou Etats-Unis, ces pays quoi étaient montré en exemple il y a peu sont désormais moins couverts par les vaccins que la France. Au moment des annonces sur les restrictions et conditions d’accès aux lieux publics le Premier ministre avait affirmé que l’objectif était d’atteindre 50 millions de primo vaccinés d’ici septembre. A la veille de la rentrée, soit à quelques jours de décalage, le seuil devrait être franchi. « Sans que l’exécutif prétende à l’immunité collective, ces 50 millions de primo-vaccinés représentent de l’ordre de 85 % de la population des plus de 12 ans partiellement immunisée (75 % des Français). Assez pour affronter plus sereinement la quatrième vague du virus dopé par le variant Delta. A priori sans confinement ni couvre-feu en métropole, donc. Si les masques restent obligatoires et les règles de distanciation sociale recommandées, la rentrée des classes et des universités se fera presque normalement » commente Le Monde.
Sauf dans quelques pays à petites population et PIB par habitant élevé, il n’existe pas d’exemple de pays qui sont parvenus à dépasser la barre des 80 ou 90% de personnes vaccinées qui garantirait – théoriquement – une immunité collective. La suite des événements vaccinaux en France semble pour l’heure se tourner plutôt vers une troisième dose pour les plus fragiles. « Qu’un nouveau variant résistant au vaccin surgisse ou que de nouvelles contraintes soient nécessaires et le bénéfice politique partira en fumée. A Matignon, comme à l’Elysée, on n’ignore pas que la lutte contre le Covid-19 est loin d’être terminée. Déjà, on pointe les divergences inquiétantes au sein de la population vaccinée, selon les âges et la géographie. Les 12-17 ans ne sont, par exemple, que 60 % à avoir reçu au moins une dose. Surtout, près de 15 % de la population des 80 ans et plus ne sont pas encore vaccinés, alors qu’ils sont les plus à risque » analyse le quotidien français.
Sauf dans quelques pays à petites population et PIB par habitant élevé, il n’existe pas d’exemple de pays qui sont parvenus à dépasser la barre des 80 ou 90% de personnes vaccinées qui garantirait – théoriquement – une immunité collective. La suite des événements vaccinaux en France semble pour l’heure se tourner plutôt vers une troisième dose pour les plus fragiles. « Qu’un nouveau variant résistant au vaccin surgisse ou que de nouvelles contraintes soient nécessaires et le bénéfice politique partira en fumée. A Matignon, comme à l’Elysée, on n’ignore pas que la lutte contre le Covid-19 est loin d’être terminée. Déjà, on pointe les divergences inquiétantes au sein de la population vaccinée, selon les âges et la géographie. Les 12-17 ans ne sont, par exemple, que 60 % à avoir reçu au moins une dose. Surtout, près de 15 % de la population des 80 ans et plus ne sont pas encore vaccinés, alors qu’ils sont les plus à risque » analyse le quotidien français.