Par communiqué, la Région de la Réunion a souligné sa présence et sa participation active au colloque annuel du Syndicat des Energies renouvelables qui vient de se dérouler à Paris. « Cette rencontre a lieu à un moment clé pour les filières des énergies renouvelables : après la loi de transition énergétique pour la croissance verte et au moment des négociations européennes importantes pour l'évolution du marché électrique et le déploiement des énergies renouvelables. C'est dans ce contexte particulier que Didier Robert, Sénateur, Président de la Région Réunion a été invité à participer à la table ronde « énergies renouvelables dans les territoires » animée par M. Eric Orsenna, membre de l'Académie Française » affirme le texte.
La Réunion, du fait de sa position géographique, est inclue dans les territoires à surveiller à cause des éventuelles conséquences du réchauffement climatique. « Considérée comme un « territoire sentinelle » des impacts liés au changement climatique, La Réunion constitue un miroir grossissant et prospectif des enjeux auxquels tous les territoires de la planète seront confrontés quels que soient leurs tailles respectives » lit-on plus loin.
Parmi les programmes mis en place pour être à la pointe dans le domaine, le service de communication de la collectivité rappelle l’existence du programme « île solaire et terre d’innovation » qui consiste à mettre en place « des actions visant à sensibiliser la population aux questions liées à la préservation de l'environnement et au développement des énergies nouvelles. »
Enfin, toujours grâce aux questions liées à son positionnement géographique, la Réunion est en première ligne dans la coopération internationale dans ce domaine. Avec un projet de partenariat avec la République des Fidji ou sa présence au sein du Climate Group, du « Regions of Climate Action » (R20) et du Network of Regional Governments For Sustainable Development (nrg4sd) l’île est décidée à sortir de sa posture de victime potentielle du réchauffement climatique pour être en première ligne dans la lutte pour le limiter.
La Réunion, du fait de sa position géographique, est inclue dans les territoires à surveiller à cause des éventuelles conséquences du réchauffement climatique. « Considérée comme un « territoire sentinelle » des impacts liés au changement climatique, La Réunion constitue un miroir grossissant et prospectif des enjeux auxquels tous les territoires de la planète seront confrontés quels que soient leurs tailles respectives » lit-on plus loin.
Parmi les programmes mis en place pour être à la pointe dans le domaine, le service de communication de la collectivité rappelle l’existence du programme « île solaire et terre d’innovation » qui consiste à mettre en place « des actions visant à sensibiliser la population aux questions liées à la préservation de l'environnement et au développement des énergies nouvelles. »
Enfin, toujours grâce aux questions liées à son positionnement géographique, la Réunion est en première ligne dans la coopération internationale dans ce domaine. Avec un projet de partenariat avec la République des Fidji ou sa présence au sein du Climate Group, du « Regions of Climate Action » (R20) et du Network of Regional Governments For Sustainable Development (nrg4sd) l’île est décidée à sortir de sa posture de victime potentielle du réchauffement climatique pour être en première ligne dans la lutte pour le limiter.