Le vélo fait son grand retour en France. Il ne s’agit pourtant pas d’un grand réveil écologique mais tout simplement du constat que c’est souvent le moyen de locomotion le plus simple et le plus fiable. D’après une enquête de l’Union sport de cycle et LCL relevée par Le Parisien-Aujourd’hui en France , un citadin sur cinq va travailler quotidiennement en vélo quand deux personnes sur cinq assurent utiliser un vélo au quotidien.
Une réalité que les municipalités observent avec la pression toujours accrue des associations de cyclistes qui demandent des infrastructures adaptées. D’autant que les règles de régulation des voitures et les grèves à répétition des transports obligent à envisager des alternatives fiables.
Parmi les raisons données par les personnes sondées, entretenir leur santé arrive en première position.
« Le vélo remplace en fait l'aérobic. Parmi cette catégorie de Français qui enfourchent leur biclou pour emmener les enfants à l'école ou encore pour faire leurs courses, plus de 6 sur 10 le font avant tout pour pratiquer une activité physique régulière. « Le second profil type est celui des vélo-lovers, des hédonistes qui pédalent pour le plaisir », signale Virgile Caillet. Autre type de cycliste, surtout représentées dans les villes très congestionnées celui-là : le pragmatique, celui pour qui se déplacer à vélo permet de maîtriser son temps de trajet mieux que l'automobile ou les RER parfois en panne. C'est l'argument avancé par 42 % des urbains actifs. Selon notre test cet été, relier la place de Nation à la Concorde à Paris prend trois fois plus de temps en voiture qu'à vélo », rapporte Le Parisien. Une situation qui devrait encore s’accentuer avec l’augmentation des investissements des collectivités. Le gouvernement vient d’ailleurs d’annoncer un soutien de près de 50 millions d’euros dans ce sens.
Une réalité que les municipalités observent avec la pression toujours accrue des associations de cyclistes qui demandent des infrastructures adaptées. D’autant que les règles de régulation des voitures et les grèves à répétition des transports obligent à envisager des alternatives fiables.
Parmi les raisons données par les personnes sondées, entretenir leur santé arrive en première position.
« Le vélo remplace en fait l'aérobic. Parmi cette catégorie de Français qui enfourchent leur biclou pour emmener les enfants à l'école ou encore pour faire leurs courses, plus de 6 sur 10 le font avant tout pour pratiquer une activité physique régulière. « Le second profil type est celui des vélo-lovers, des hédonistes qui pédalent pour le plaisir », signale Virgile Caillet. Autre type de cycliste, surtout représentées dans les villes très congestionnées celui-là : le pragmatique, celui pour qui se déplacer à vélo permet de maîtriser son temps de trajet mieux que l'automobile ou les RER parfois en panne. C'est l'argument avancé par 42 % des urbains actifs. Selon notre test cet été, relier la place de Nation à la Concorde à Paris prend trois fois plus de temps en voiture qu'à vélo », rapporte Le Parisien. Une situation qui devrait encore s’accentuer avec l’augmentation des investissements des collectivités. Le gouvernement vient d’ailleurs d’annoncer un soutien de près de 50 millions d’euros dans ce sens.