Selon une information parue par communiqué, la Ministre de l’écologie, Ségolène Royal, a désigné quatre zones propices au développement des fermes pilotes pour les éoliennes flottantes, dans trois régions différentes : la Bretagne, le Languedoc-Roussillon et la région Provence-Alpes-Côte d’Azur. Une première en France.
Selon ce même communiqué, « ces quatre zones sont les plus favorables au regard des enjeux techniques et d’acceptabilité. Elles sont situées au large de l’île de Groix, des étangs de Leucate, de la commune de Gruissan et du phare de Faraman. » Un appel à projet va donc être lancé et publié avant la fin du mois.
Selon ce même communiqué, « ces quatre zones sont les plus favorables au regard des enjeux techniques et d’acceptabilité. Elles sont situées au large de l’île de Groix, des étangs de Leucate, de la commune de Gruissan et du phare de Faraman. » Un appel à projet va donc être lancé et publié avant la fin du mois.
Un appel à projets pour une nouvelle filière
Avant la fin du mois de juillet, selon ce même communiqué, un « appel à projets ‘fermes pilotes éoliennes flottantes’ » sera lancé dans ces quatre régions. Cet appel à projet est la pierre angulaire d’une future « filière industrielle prometteuse », le tout financé par le « programme d’investissement d’avenir (PIA) », auquel s’ajoutent les « tarifs de rachat de l’électricité produite. »
Le choix de la filière éolien flottant par rapport aux autres possibilités énergétiques s'expliquerait parce qu'elle présenterait de « nombreux avantages ». Elle permettrait entre autres deux nouvelles avancées : « d’accéder à des gisements de vent plus importants, en permettant d’installer des éoliennes dans des zones de grande profondeur jusqu’ici inaccessibles » et « d’améliorer l’intégration environnementale des projets, en remplaçant les fondations par des ancrages ».
Le communiqué du Ministère assure que le développement de cette nouvelle filière « contribue à l’atteinte de l’objectif (...) fixé par la loi de transition énergétique pour la croissance verte, de produire 40 % de notre électricité à partir de source renouvelable à l’horizon 2030 ». Un objectif ambitieux, qui ouvrira de nouveaux horizons aux industriels français, « tant sur le territoire national qu’à l’export. »
Le choix de la filière éolien flottant par rapport aux autres possibilités énergétiques s'expliquerait parce qu'elle présenterait de « nombreux avantages ». Elle permettrait entre autres deux nouvelles avancées : « d’accéder à des gisements de vent plus importants, en permettant d’installer des éoliennes dans des zones de grande profondeur jusqu’ici inaccessibles » et « d’améliorer l’intégration environnementale des projets, en remplaçant les fondations par des ancrages ».
Le communiqué du Ministère assure que le développement de cette nouvelle filière « contribue à l’atteinte de l’objectif (...) fixé par la loi de transition énergétique pour la croissance verte, de produire 40 % de notre électricité à partir de source renouvelable à l’horizon 2030 ». Un objectif ambitieux, qui ouvrira de nouveaux horizons aux industriels français, « tant sur le territoire national qu’à l’export. »