Plus que des symboles, ce sont des exemples. « L’engagement pris au sommet de l’Etat pour obtenir un label sur l’égalité femmes-hommes et une certification éco-socio-responsable dans le cadre de l’organisation du G7 est un signal fort. Comme les entreprises, les acteurs publics ne peuvent faire abstraction des enjeux sociaux et environnementaux de leurs activités. Le fond et la forme doivent s’accorder. Pour gagner ainsi en cohérence, et donc en confiance, ces acteurs, petits et grands, peuvent compter sur les normes volontaires que nous publions et les signes de reconnaissance qui sont fondés sur des référentiels publiés » explique Olivier Peyrat, DG du groupe Afnor, spécialiste des certifications et normes RSE.
Bien qu’il prêche pour sa paroisse, Olivier Peyrat vise juste en soulignant l’importance de montrer l’exemple. Car si un gouvernement ou une institution quelconque, représente une goute d’eau dans l’Océan, la moindre incohérence sera montrée du doigt par l’opinion publique. Un peu comme l’étonnant parc automobile de Nicolas Hulot – dévoilé lorsqu’il était ministre de l’Ecologie. A l’inverse, l’initiative vertueuse sans contrainte permet tout de suite d’envoyer un signal très positif. « Curieux objet que la norme volontaire, assimilée à tort à la contrainte réglementaire, mais tellement utile ! Une norme volontaire recueille et structure de bonnes pratiques, propose un cadre pour agir, des méthodologies qui font référence, un langage commun. Saluons ici toutes celles et ceux qui acceptent de faire vivre la culture du consensus, en partageant leur expertise dans des commissions de normalisation. Ils sont ainsi près de 19 000 chaque année à coécrire, avec notre concours, les normes volontaires qui seront utilisées demain par la collectivité. Ces normes ont vocation à refléter les usages, tout en constituant un outil de dialogue et d’intelligence économique de premier plan, puisque 90 % des normes volontaires sont élaborées à l’échelle européenne ou internationale » continue le texte.
Bien qu’il prêche pour sa paroisse, Olivier Peyrat vise juste en soulignant l’importance de montrer l’exemple. Car si un gouvernement ou une institution quelconque, représente une goute d’eau dans l’Océan, la moindre incohérence sera montrée du doigt par l’opinion publique. Un peu comme l’étonnant parc automobile de Nicolas Hulot – dévoilé lorsqu’il était ministre de l’Ecologie. A l’inverse, l’initiative vertueuse sans contrainte permet tout de suite d’envoyer un signal très positif. « Curieux objet que la norme volontaire, assimilée à tort à la contrainte réglementaire, mais tellement utile ! Une norme volontaire recueille et structure de bonnes pratiques, propose un cadre pour agir, des méthodologies qui font référence, un langage commun. Saluons ici toutes celles et ceux qui acceptent de faire vivre la culture du consensus, en partageant leur expertise dans des commissions de normalisation. Ils sont ainsi près de 19 000 chaque année à coécrire, avec notre concours, les normes volontaires qui seront utilisées demain par la collectivité. Ces normes ont vocation à refléter les usages, tout en constituant un outil de dialogue et d’intelligence économique de premier plan, puisque 90 % des normes volontaires sont élaborées à l’échelle européenne ou internationale » continue le texte.