Les experts de l'Ademe ont réalisé une étude sur l'empreinte environnementale des Français en 2030. Ces travaux visent à identifier les axes de lutte pour limiter les émissions de gaz à effet de serre. « Les experts ont ainsi échafaudé un scénario qui, selon Anne Varet, directrice recherche prospective à l’Ademe qui a co-piloté l'étude, n'inclut «aucune rupture technologique majeure mais demande une évolution des comportements». Pour la première fois, l'impact écologique des importations consommées par les Français a également été pris en compte. Cela leur permet de distinguer à l'horizon 2030 deux scénarios, entre la continuation des tendances actuelles et la mise en place de réformes plus importantes » souligne le magazine Paris Match.
Solutions concrètes
L’Ademe s’intéresse à ce sujet dans une démarche positive et non uniquement culpabilisante. Ainsi, les experts montrent que certaines tendances vont dans le bon sens. C’est le cas notamment de l’essor de l’autopartage, relève le magazine.
Mais pour parvenir à des niveaux de gaz à effet de serre satisfaisants, l’Ademe estime qu’il faut aller plus loin dés aujourd’hui. «Ce qui ressort, c’est qu’en matière de gaz à effets de serre, il y a deux secteurs qui ressortent fortement : l’habitat et la mobilité. Sur l’habitat, tout est tourné sur l’amélioration de la performance thermique. On a identifié également qu’une amélioration pourrait être apportée en réduisant à 50% la part des maisons individuelles par rapport aux habitats collectifs. Pour l’heure, on est à 58/42 en faveur des maisons individuelles», explique Anne Varet, citée par Paris Match.
Grâce à des prévisions secteur par secteur, l’Ademe espère faire ressortir les faiblesses et les atouts des politiques menées pour permettre une véritable transition énergétique et écologique durant les quinze prochaines années. Par ailleurs, les experts insistent sur le fait qu’il ne saurait y avoir de changements sans une véritable évolution des comportements et des mentalités.
Mais pour parvenir à des niveaux de gaz à effet de serre satisfaisants, l’Ademe estime qu’il faut aller plus loin dés aujourd’hui. «Ce qui ressort, c’est qu’en matière de gaz à effets de serre, il y a deux secteurs qui ressortent fortement : l’habitat et la mobilité. Sur l’habitat, tout est tourné sur l’amélioration de la performance thermique. On a identifié également qu’une amélioration pourrait être apportée en réduisant à 50% la part des maisons individuelles par rapport aux habitats collectifs. Pour l’heure, on est à 58/42 en faveur des maisons individuelles», explique Anne Varet, citée par Paris Match.
Grâce à des prévisions secteur par secteur, l’Ademe espère faire ressortir les faiblesses et les atouts des politiques menées pour permettre une véritable transition énergétique et écologique durant les quinze prochaines années. Par ailleurs, les experts insistent sur le fait qu’il ne saurait y avoir de changements sans une véritable évolution des comportements et des mentalités.