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« Après la hausse de 10% des prix du gaz au 1er juillet, ceux de l’électricité risquent aussi de subir une poussée de fièvre. Mardi, le régulateur doit annoncer une légère hausse des prix, inférieure à 1%, pour le 1er août prochain. Mais la prochaine révision, prévue pour le 1er février 2022 inquiète déjà le gouvernement. Les prix sur le marché de l’électricité ont, eux aussi, flambé de 40% pour atteindre 74€/MWh, dans le sillage de ceux du pétrole et du prix du carbone » annonce BFM Business.
Une information largement reprise par d’autres médias dans la foulée. D’autant que les augmentations prévues sont en moyenne de 5% à 6% et donc ne passeront pas inaperçues quelques semaines avant l’élection présidentielle.
« Selon nos informations, des réunions se sont multipliées ces dernières semaines entre conseillers ministériels, de Matignon et de l’Élysée pour traiter ce sujet. Avec le régulateur de l’énergie autour de la table pour proposer des solutions afin de limiter cette forte hausse en pleine campagne présidentielle. "Le sujet est déjà très sensible ", reconnait une source proche du dossier. Au ministère de l’Écologie on renvoie la balle "au régulateur" tout en reconnaissant que "la hausse des prix de l’électricité aura un impact sur les tarifs". "Le gouvernement reste vigilant quant à l’évolution des prix pour les consommateurs" assure le cabinet de la ministre Barbara Pompili. Au ministère de l’Économie, on donne rendez-vous à la rentrée pour traiter du sujet » explique la chaine d’infos économiques.
Et pour éviter le mauvais effet, ainsi que ses conséquences politiques, le gouvernement travaillerait à atténuer l’impact sur les ménages de cette évolution du marché de l’électricité : « Selon nos informations, un scénario complexe circule dans les ministères qui consisterait à baisser la taxe sur l’électricité. La "contribution au service public de l’énergie", dite CSPE, pèse sur un tiers de la facture des ménages. Elle finance essentiellement les subventions pour les éoliennes et panneaux solaires. »
Une information largement reprise par d’autres médias dans la foulée. D’autant que les augmentations prévues sont en moyenne de 5% à 6% et donc ne passeront pas inaperçues quelques semaines avant l’élection présidentielle.
« Selon nos informations, des réunions se sont multipliées ces dernières semaines entre conseillers ministériels, de Matignon et de l’Élysée pour traiter ce sujet. Avec le régulateur de l’énergie autour de la table pour proposer des solutions afin de limiter cette forte hausse en pleine campagne présidentielle. "Le sujet est déjà très sensible ", reconnait une source proche du dossier. Au ministère de l’Écologie on renvoie la balle "au régulateur" tout en reconnaissant que "la hausse des prix de l’électricité aura un impact sur les tarifs". "Le gouvernement reste vigilant quant à l’évolution des prix pour les consommateurs" assure le cabinet de la ministre Barbara Pompili. Au ministère de l’Économie, on donne rendez-vous à la rentrée pour traiter du sujet » explique la chaine d’infos économiques.
Et pour éviter le mauvais effet, ainsi que ses conséquences politiques, le gouvernement travaillerait à atténuer l’impact sur les ménages de cette évolution du marché de l’électricité : « Selon nos informations, un scénario complexe circule dans les ministères qui consisterait à baisser la taxe sur l’électricité. La "contribution au service public de l’énergie", dite CSPE, pèse sur un tiers de la facture des ménages. Elle finance essentiellement les subventions pour les éoliennes et panneaux solaires. »
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