Un article des Echos, d’après une dépêche AFP, explique la maire de Paris « déplore néanmoins l'absence d'un texte "plus efficace" spécifique à Paris et l'Île-de-France. »
L’article ajoute qu’Anne Hidalgo « a fait de la lutte contre la pollution un des axes majeurs de sa politique . Elle a ainsi salué le fait que le seuil d’alerte qui permet de déclencher ces mesures d’urgence soit pris au bout de trois jours de seuil d’information et non quatre comme précédemment », d’après ce qu’elle a affirmé dans un communiqué, ajoutant avoir pris acte avec satisfaction « qu’il soit obligatoire de consulter les collectivités. »
L’article ajoute qu’Anne Hidalgo « a fait de la lutte contre la pollution un des axes majeurs de sa politique . Elle a ainsi salué le fait que le seuil d’alerte qui permet de déclencher ces mesures d’urgence soit pris au bout de trois jours de seuil d’information et non quatre comme précédemment », d’après ce qu’elle a affirmé dans un communiqué, ajoutant avoir pris acte avec satisfaction « qu’il soit obligatoire de consulter les collectivités. »
Une déception face à certains points
Cependant, l’article des Echos souligne qu’Anne Hidalgo « a exprimé sa ’déception ‘concernant des points sur lesquels l’arrêté n’apporte pas de ‘réponses demandées de longue date’. Elle voudrait ainsi ‘"plus de souplesse’ dans la définition des seuils de persistance. »
Christophe Najdovski, adjoint EELV aux transports, constate : « Avec le nouveau dispositif, on va passer à trois jours mais ces trois jours sont consécutifs. Parfois, le seuil est dépassé un jour, puis redescend, puis remonte. Et donc il ne se passe rien. Nous voulons une définition plus souple de cette persistance du pic de pollution. »
L’article ajoute qu’Anne Hidalgo « regrette également que ce phénomène de persistance ne soit ‘toujours pas prévu pour la pollution à l’ozone’, fréquent en Ile-de-France en période estivale. »
Christophe Najdovski, quant à lui, affirme avec ironie : « Il y a un seuil tellement haut (360 microgrammes/m3 en moyenne horaire pour le 3e seuil) qu’on ne l’atteint jamais, c’est un niveau chinois. »
Enfin, comme l’explique l’article des Echos, la municipalité déplore que « malgré les annonces, ‘aucun pouvoir de décision n’est donné aux collectivités locales et le préfet reste, comme cela était déjà le cas, seul décisionnaire’. » La « municipalité qui voudrait également que les mesures soient prises de manière automatique, sans atteindre la décision du préfet. »
Lire l’intégralité de l’article des Echos ici.
Christophe Najdovski, adjoint EELV aux transports, constate : « Avec le nouveau dispositif, on va passer à trois jours mais ces trois jours sont consécutifs. Parfois, le seuil est dépassé un jour, puis redescend, puis remonte. Et donc il ne se passe rien. Nous voulons une définition plus souple de cette persistance du pic de pollution. »
L’article ajoute qu’Anne Hidalgo « regrette également que ce phénomène de persistance ne soit ‘toujours pas prévu pour la pollution à l’ozone’, fréquent en Ile-de-France en période estivale. »
Christophe Najdovski, quant à lui, affirme avec ironie : « Il y a un seuil tellement haut (360 microgrammes/m3 en moyenne horaire pour le 3e seuil) qu’on ne l’atteint jamais, c’est un niveau chinois. »
Enfin, comme l’explique l’article des Echos, la municipalité déplore que « malgré les annonces, ‘aucun pouvoir de décision n’est donné aux collectivités locales et le préfet reste, comme cela était déjà le cas, seul décisionnaire’. » La « municipalité qui voudrait également que les mesures soient prises de manière automatique, sans atteindre la décision du préfet. »
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