Avec des inondations en Inde et au Japon, un ouragan au Mexique, un typhon aux Philippines, ou encore des incendies en Australie, l’année 2015 a été symbole des catastrophes naturelles. Le réchauffement climatique ne semble quant à lui pas étranger à cette situation.
Un article en ligne du journal La Dépêche souligne que « le mois de décembre semble à lui seul résumer ce drôle de temps : en Lorraine, des arbres bourgeonnent ; à Moscou on a fêté Noël sans la neige ; en Australie des forêts brûlent ; au Texas, les tornades détruisent tout. »
Un article en ligne du journal La Dépêche souligne que « le mois de décembre semble à lui seul résumer ce drôle de temps : en Lorraine, des arbres bourgeonnent ; à Moscou on a fêté Noël sans la neige ; en Australie des forêts brûlent ; au Texas, les tornades détruisent tout. »
Des « phénomènes extrêmes »
L’article explique que « les températures ont été particulièrement clémentes cette année, en France mais aussi dans toutes les régions en principe tempérées du monde, ce qui favorise les phénomènes extrêmes. »
Ainsi, « un rapport de l’organisation météorologique mondiale paru fin novembre, quelques jours avant la COP 21 de Paris, révélait que 2015 serait l’année la plus chaude jamais enregistrée et que la température moyenne à la surface de la terre franchit le seuil symbolique des 1°C de réchauffement depuis l’ère préindustrielle (1880-1899). » L’article ajoute qu’ « en France, seule l’année 1997 dépassera encore 2015 et encore décembre aura peut- être changé la tendance. »
Et « ce n’est pas une impression : les températures de cette fin d’année relèvent de l’exceptionnel. » L’article affirme ainsi que « novembre et décembre accumulent les journées de températures supérieures aux normes saisonnières : 7° en moyenne pour novembre, 6° à 11° pour décembre. »
Pour savoir si ces hausses de température pourraient s’arrêter, La Dépêche a fait appel à « Frédéric Decker, prévisionniste à MeteoNews ». Pour lui, « la surchauffe pourrait s’arrêter : ‘Le mois de janvier devrait être, lui aussi, doux et sec, mais cela pourrait basculer par la suite. El Niño, devrait se terminer au printemps.’ »
Par conséquent, « les conditions pourraient donc devenir plus fraîches et humides entre février et avril. L’année 2016 devrait être plus fraîche que 2015, que ce soit au niveau français ou global. »
Ainsi, « un rapport de l’organisation météorologique mondiale paru fin novembre, quelques jours avant la COP 21 de Paris, révélait que 2015 serait l’année la plus chaude jamais enregistrée et que la température moyenne à la surface de la terre franchit le seuil symbolique des 1°C de réchauffement depuis l’ère préindustrielle (1880-1899). » L’article ajoute qu’ « en France, seule l’année 1997 dépassera encore 2015 et encore décembre aura peut- être changé la tendance. »
Et « ce n’est pas une impression : les températures de cette fin d’année relèvent de l’exceptionnel. » L’article affirme ainsi que « novembre et décembre accumulent les journées de températures supérieures aux normes saisonnières : 7° en moyenne pour novembre, 6° à 11° pour décembre. »
Pour savoir si ces hausses de température pourraient s’arrêter, La Dépêche a fait appel à « Frédéric Decker, prévisionniste à MeteoNews ». Pour lui, « la surchauffe pourrait s’arrêter : ‘Le mois de janvier devrait être, lui aussi, doux et sec, mais cela pourrait basculer par la suite. El Niño, devrait se terminer au printemps.’ »
Par conséquent, « les conditions pourraient donc devenir plus fraîches et humides entre février et avril. L’année 2016 devrait être plus fraîche que 2015, que ce soit au niveau français ou global. »