Dans le domaine de la biodiversité, les association et organismes sont conscients qu’il s’agit avant tout de proposer des actions concrètes pour obtenir de véritables changements. Au risque d’enfoncer une porte ouverte, aucune collectivité ne s’oppose au développement durable et à la protection de la biodiversité : c’est au niveau de la mise en œuvre que la bât blesse.
« Afin de renforcer leurs actions en matière de biodiversité, et dans une perspective d'amélioration continue, il est nécessaire que les collectivités suivent et évaluent régulièrement leurs politiques pour mesurer et rendre compte des progrès établis » estime l’Union internationale pour la Conservation de la Nature (UICN). Par communiqué, l’organisme publie les grandes lignes d’un rapport sur le « cadre d’analyse et de réflexion » que les collectivités peuvent mettre en place pour « définir leurs indicateurs de biodiversité. »
« Afin de renforcer leurs actions en matière de biodiversité, et dans une perspective d'amélioration continue, il est nécessaire que les collectivités suivent et évaluent régulièrement leurs politiques pour mesurer et rendre compte des progrès établis » estime l’Union internationale pour la Conservation de la Nature (UICN). Par communiqué, l’organisme publie les grandes lignes d’un rapport sur le « cadre d’analyse et de réflexion » que les collectivités peuvent mettre en place pour « définir leurs indicateurs de biodiversité. »
Mieux connaître, suivre et rapporter
Trois grands axes se distinguent dans ce rapport de l’UICN : mieux connaître, suivre et rapporter. Le texte détaille ainsi chacune de ces étapes : « mieux connaître et suivre l'état de la biodiversité sur leur territoire (caractéristiques de la biodiversité, pressions qui s'exercent sur elle, impacts sur les services qu'elle fournit), et ses enjeux ; suivre et évaluer les dispositifs et moyens qu'elles mettent en oeuvre pour y répondre ;.rapporter et communiquer sur leur implication pour préserver la biodiversité et les progrès accomplis. »
En s’engageant aux côtes des collectivités, l’UICN France propose un outil qui doit « faciliter l’identification d’indicateurs de biodiversité à l’échelle territoriale. » Dans un second temps, l’organisme « poursuivra cette première étude en identifiant pour l'échelon régional un jeu commun et synthétique d'indicateurs de biodiversité. Grâce à ce jeu de référence, les régions disposeront d'un outil commun d'auto-évaluation leur permettant également de rendre compte de leur contribution aux objectifs d'Aichi et au Plan d'action sur les gouvernements infranationaux, les villes, et les autres autorités locales pour la biodiversité, adoptés en octobre 2010 à Nagoya par la Convention sur la Diversité Biologique, et à la Stratégie nationale pour la biodiversité. »
En s’engageant aux côtes des collectivités, l’UICN France propose un outil qui doit « faciliter l’identification d’indicateurs de biodiversité à l’échelle territoriale. » Dans un second temps, l’organisme « poursuivra cette première étude en identifiant pour l'échelon régional un jeu commun et synthétique d'indicateurs de biodiversité. Grâce à ce jeu de référence, les régions disposeront d'un outil commun d'auto-évaluation leur permettant également de rendre compte de leur contribution aux objectifs d'Aichi et au Plan d'action sur les gouvernements infranationaux, les villes, et les autres autorités locales pour la biodiversité, adoptés en octobre 2010 à Nagoya par la Convention sur la Diversité Biologique, et à la Stratégie nationale pour la biodiversité. »