Un accord provisoire fixe l’objectif politique que l’Union européenne va défendre en maltière de lutte contre les plastiques à usage unique. Le Parlement européen et le Conseil ont ainsi convenu d’aller vers l’interdiction totale. « Les citoyens n'attendaient qu'une chose de l'Union européenne, qu'elle adopte une directive ambitieuse contre les plastiques jetables responsables de l'asphyxie des mers et océans. C'est chose faite avec notre accord bouclé à 6h30 ce matin. Il permettra de réduire la facture des dégâts environnementaux de 22 milliards d'euros, soit le coût estimé de la pollution aux plastiques en Europe jusqu'en 2030 » se félicite l’élue du Parlement Frédérique Ries, chargée de ce dossier.
La mesure qui va être recherchée est forte tant ce sont des produits de notre quotidien qui sont concernés par cette interdiction programmée. Les couverts et assiettes en plastique, les cotons-tiges en plastique, les tiges pour ballons de baudruche, les plastiques oxodégradables et tous les gobelets ou récipients en polystyrène expansé. « L'Europe a maintenant un modèle législatif à défendre et à promouvoir au niveau international tant l'enjeu de la pollution marine liée aux plastiques est global. C'est essentiel pour la planète et c'est ce que nous demandent les millions d'Européens concernés » justifie Frédérique Ries.
Désormais l’accord provisoire doit être validé par les deux institutions européennes tandis que la Commission de l’environnement doit prendre une décision durant le mois de janvier. Il y a fort à parier que les parties sur les responsabilités entrainent de vifs débats. Un communiqué du Parlement européen souligne en effet qu’il est prévu « une application renforcée du principe "pollueur payeur", notamment pour le tabac, via l'introduction de la responsabilité élargie du producteur ; un régime de responsabilité élargie du producteur pour les engins de pêche, afin de garantir que les fabricants. »
La mesure qui va être recherchée est forte tant ce sont des produits de notre quotidien qui sont concernés par cette interdiction programmée. Les couverts et assiettes en plastique, les cotons-tiges en plastique, les tiges pour ballons de baudruche, les plastiques oxodégradables et tous les gobelets ou récipients en polystyrène expansé. « L'Europe a maintenant un modèle législatif à défendre et à promouvoir au niveau international tant l'enjeu de la pollution marine liée aux plastiques est global. C'est essentiel pour la planète et c'est ce que nous demandent les millions d'Européens concernés » justifie Frédérique Ries.
Désormais l’accord provisoire doit être validé par les deux institutions européennes tandis que la Commission de l’environnement doit prendre une décision durant le mois de janvier. Il y a fort à parier que les parties sur les responsabilités entrainent de vifs débats. Un communiqué du Parlement européen souligne en effet qu’il est prévu « une application renforcée du principe "pollueur payeur", notamment pour le tabac, via l'introduction de la responsabilité élargie du producteur ; un régime de responsabilité élargie du producteur pour les engins de pêche, afin de garantir que les fabricants. »