Où en est la pollution par les plastiques et quelle sont les mesures qui fonctionnent le mieux ? Un rapport d’ONU Environnement tente de répondre à ces questions. Le premier constat, celui sur lequel repose ce rapport, est qu’un effort mondial est engagé dans la lutte contre les pollutions par les plastiques. Les lois changent, des mesures plus ou moins efficaces sont engagées pour enrayer un phénomène planétaire inquiétant.
« Dans un document présenté comme le premier examen complet de « l'état des plastiques » dans le monde, ONU Environnement a compilé des expériences et des évaluations des différentes mesures et réglementations pour combattre la pollution plastique dans son rapport intitulé : Plastique à usage unique : feuille de route pour la durabilité » avance un communiqué du Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE). Avant d’ajouter que « Cette perspective internationale, élaborée en collaboration avec le gouvernement indien et le ministère de l'environnement, des forêts et du changement climatique, présente des études de cas de plus de 60 pays. Le rapport analyse les implications complexes de notre économie basée sur les plastiques et offre une approche pour repenser la façon dont le monde produit, utilise et gère les plastiques à usage unique. »
Avec ce rapport, les Nations Unies veulent favoriser un partage d’expérience entre les pays pour que les plus récalcitrants soient encouragés à passer à l’action. Qu’il s’agisse de la gestion des déchets, d’alternatives durables, de campagnes de sensibilisation, d’interdictions ou de taxes pour les plastiques à usage unique, la palette des choix est importante.
« Les principales conclusions du rapport indiquent que les taxes et les interdictions prononcées par les gouvernements, lorsqu'elles sont correctement planifiées et appliqués, figurent parmi les stratégies les plus efficaces pour limiter la surconsommation des produits en plastique jetables. Cependant, le rapport insiste sur la nécessité d'une coopération plus large avec les parties prenantes des entreprises et du secteur privé, propose une feuille de route pour la mise en oeuvre de solutions en amont, y compris le concept de la responsabilité élargie des producteurs et des incitations financières pour l'adoption d'une approche plus circulaire de la production et de la consommation de plastique » résume le commuiqué.
« Dans un document présenté comme le premier examen complet de « l'état des plastiques » dans le monde, ONU Environnement a compilé des expériences et des évaluations des différentes mesures et réglementations pour combattre la pollution plastique dans son rapport intitulé : Plastique à usage unique : feuille de route pour la durabilité » avance un communiqué du Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE). Avant d’ajouter que « Cette perspective internationale, élaborée en collaboration avec le gouvernement indien et le ministère de l'environnement, des forêts et du changement climatique, présente des études de cas de plus de 60 pays. Le rapport analyse les implications complexes de notre économie basée sur les plastiques et offre une approche pour repenser la façon dont le monde produit, utilise et gère les plastiques à usage unique. »
Avec ce rapport, les Nations Unies veulent favoriser un partage d’expérience entre les pays pour que les plus récalcitrants soient encouragés à passer à l’action. Qu’il s’agisse de la gestion des déchets, d’alternatives durables, de campagnes de sensibilisation, d’interdictions ou de taxes pour les plastiques à usage unique, la palette des choix est importante.
« Les principales conclusions du rapport indiquent que les taxes et les interdictions prononcées par les gouvernements, lorsqu'elles sont correctement planifiées et appliqués, figurent parmi les stratégies les plus efficaces pour limiter la surconsommation des produits en plastique jetables. Cependant, le rapport insiste sur la nécessité d'une coopération plus large avec les parties prenantes des entreprises et du secteur privé, propose une feuille de route pour la mise en oeuvre de solutions en amont, y compris le concept de la responsabilité élargie des producteurs et des incitations financières pour l'adoption d'une approche plus circulaire de la production et de la consommation de plastique » résume le commuiqué.