Le moyen le plus efficace de lutter contre le réchauffement climatique c’est l’innovation. C’est en effet par des sauts technologiques importants – dans le domaine de l’énergie mais pas seulement – que l’on pourrait éventuellement faire mentir les prévisions pour les prochaines années. Outre les nouvelles sources d’énergie ou moteurs pour véhicules, la gestion du CO2 apparait ainsi comme un domaine d’avenir. C’est avec un raisonnement de ce type que l’Institut national de recherche agronomique (Inra) a défendu son entrée au capital de EnobraQ. La startup est en effet spécialisée dans la recherche sur l’utilisation du CO2 comme matière première, notamment pour servir à la fermentation (levure ou sucre par exemple).
«Un exemple dans l'actualité illustre cet engagement (en faveur de l’innovation) : l'Inra annonce sa prise de participation au capital d'EnobraQ, une start-up dont l'activité porte sur le développement de technologies de rupture mettant en oeuvre entre autres l'utilisation de CO2, un formidable espoir pour la lutte contre le changement climatique » annonce le communiqué de l’Inra. Concrètement, l’entrée au capital s’opère par la traduction de créance en parts, ajoute l’organisme.
Depuis son lancement en 2015, la startup est identifiée comme un jeune pousse à la pointe de la recherche sur l’exploitation du CO2. D’abord dédiée à la transformation du gaz carbonique en glucose et de l’hydrogène comme source d’énergie, la structure n’est pas parvenue à atteindre les ambitieux plans. Ses compétences ne sont pas pour autant remise en cause a désormais mieux délimité les contours de ses objectifs. « EnobraQ se consacre au développement des biotechnologies dites de « 4ème génération » visant à utiliser le gaz carbonique (CO2) dans des procédés de fermentation pour produire des molécules industrielles. La société a récemment réorienté ses développements et cible dorénavant des marchés aussi divers que la nutrition, l'agro-alimentaire, la cosmétique, la pharmacologie et les bioplastiques » affirme l’Inra.
«Un exemple dans l'actualité illustre cet engagement (en faveur de l’innovation) : l'Inra annonce sa prise de participation au capital d'EnobraQ, une start-up dont l'activité porte sur le développement de technologies de rupture mettant en oeuvre entre autres l'utilisation de CO2, un formidable espoir pour la lutte contre le changement climatique » annonce le communiqué de l’Inra. Concrètement, l’entrée au capital s’opère par la traduction de créance en parts, ajoute l’organisme.
Depuis son lancement en 2015, la startup est identifiée comme un jeune pousse à la pointe de la recherche sur l’exploitation du CO2. D’abord dédiée à la transformation du gaz carbonique en glucose et de l’hydrogène comme source d’énergie, la structure n’est pas parvenue à atteindre les ambitieux plans. Ses compétences ne sont pas pour autant remise en cause a désormais mieux délimité les contours de ses objectifs. « EnobraQ se consacre au développement des biotechnologies dites de « 4ème génération » visant à utiliser le gaz carbonique (CO2) dans des procédés de fermentation pour produire des molécules industrielles. La société a récemment réorienté ses développements et cible dorénavant des marchés aussi divers que la nutrition, l'agro-alimentaire, la cosmétique, la pharmacologie et les bioplastiques » affirme l’Inra.