Creative Commons - Pixabay
S’il y a bien un point sur lequel les gilets jaunes se sont tous mis d’accord c’est celui de l’injustice sociale causée par l’augmentation des prix du carburant. Alors que l’exécutif et la majorité ont continué à expliquer que c’était le sens de l’histoire et qu’il fallait agir pour favoriser la transition écologique, l’argument n’a pas convaincu. Ce sont en effet, pour la plupart, les personnes les plus modestes qui sont dépendantes de leur voiture pour aller travailler. Et ces personnes n’ont bien souvent pas du tout les moyens de s’offrir une voiture hybride ou électrique, avec ou sans prime écologique.
L’équation semble donc insoluble et la colère monte. « Après des semaines de colère et une semaine de blocage tous azimuts, l'Élysée semble guéri de sa surdité. Dans l'optique de communiquer avec plus de pédagogie à ce sujet et de rendre la transition écologique "acceptable et démocratique", Emmanuel Macron va faire des annonces mardi 27 novembre. Le programme est alléchant : le chef de l'État promet de l'argent, des débats et une méthode. La mise en scène est soignée... » écrit RTL.
Reste à observer comment le président compte présenter ces mesures dans un contexte où les esprits sont bien échaudés. D’autant qu’il aurait été préférable de réaliser avant la mobilisation des gilets jaunes que la plupart des Français achètent d’occasion des véhicules diesel. Quelques milliers d’euros de rabais pour des voitures neuves qui coutent plus de 25 000 euros pour la plupart n’étaient évidemment pas une solution pour les ruraux et classes moyennes dépendantes des voitures.
« Concrètement, le président devrait dévoiler de nouvelles mesures d'aide, l'ouverture de négociations, y compris éventuellement sur les taxes écologiques, ainsi qu'une méthode, un "pacte social" et des négociations territoriales pour les mettre en oeuvre de manière efficace et décentralisée. L'amélioration énergétique des bâtiments et les nouvelles mobilités devraient être particulièrement concernées » croit savoir RTL.
L’équation semble donc insoluble et la colère monte. « Après des semaines de colère et une semaine de blocage tous azimuts, l'Élysée semble guéri de sa surdité. Dans l'optique de communiquer avec plus de pédagogie à ce sujet et de rendre la transition écologique "acceptable et démocratique", Emmanuel Macron va faire des annonces mardi 27 novembre. Le programme est alléchant : le chef de l'État promet de l'argent, des débats et une méthode. La mise en scène est soignée... » écrit RTL.
Reste à observer comment le président compte présenter ces mesures dans un contexte où les esprits sont bien échaudés. D’autant qu’il aurait été préférable de réaliser avant la mobilisation des gilets jaunes que la plupart des Français achètent d’occasion des véhicules diesel. Quelques milliers d’euros de rabais pour des voitures neuves qui coutent plus de 25 000 euros pour la plupart n’étaient évidemment pas une solution pour les ruraux et classes moyennes dépendantes des voitures.
« Concrètement, le président devrait dévoiler de nouvelles mesures d'aide, l'ouverture de négociations, y compris éventuellement sur les taxes écologiques, ainsi qu'une méthode, un "pacte social" et des négociations territoriales pour les mettre en oeuvre de manière efficace et décentralisée. L'amélioration énergétique des bâtiments et les nouvelles mobilités devraient être particulièrement concernées » croit savoir RTL.