Après le SMIC, les prestations sociales aussi vont être concernées par un coup de pouce spécial inflation. « Le gouvernement propose la hausse de 4% d'une kyrielle de prestations sociales pour lutter contre l'inflation dans son futur projet de loi « pouvoir d'achat », selon un document consulté par l'AFP. Ce coup de pouce, qui serait rétroactif au 1er juillet, concernerait, comme déjà annoncé, les pensions de retraite et d'invalidité des régimes de base, mais aussi les prestations familiales et les minima sociaux, dont le revenu de solidarité active (RSA), l'allocation aux adultes handicapés (AAH) et l'allocation de solidarité aux personnes âgées (Aspa), est-il écrit dans une partie du projet de loi dont l'AFP a eu connaissance et qui confirme une information initialement dévoilée par les Échos », relaye Le Figaro .
Cette mesure sera comprise dans le projet de loi pouvoir d’achat du gouvernement qui sra le premier à être débattu à l’Assemblée nationale après avoir été présenté à l’exécutif en Conseil des ministres dans les prochains jours. « Sur fond de contexte géopolitique troublé en raison du conflit en Ukraine, l'inflation, qui devrait atteindre en moyenne 5,5% en 2022, est devenue l'objet d'une âpre bataille politique entre les oppositions et l'exécutif. Élisabeth Borne avait déjà annoncé la hausse de 4% des pensions de retraite avant le résultat des législatives, mais était restée plus floue sur le montant de l'augmentation des prestations sociales. Ces hausses programmées dans le projet de loi « pouvoir d'achat » ne sont qu'un volet des mesures concoctées par le gouvernement pour répondre à la hausse des prix. Celles-ci sont dévoilées au compte-goutte, comme la hausse de 4% de la prime d'activité, le chèque inflation, le dégel des rémunérations des fonctionnaires, le bouclier tarifaire sur l'énergie ou encore le triplement et à la pérennisation de la prime de pouvoir d'achat » continue le quotidien.
Cette mesure sera comprise dans le projet de loi pouvoir d’achat du gouvernement qui sra le premier à être débattu à l’Assemblée nationale après avoir été présenté à l’exécutif en Conseil des ministres dans les prochains jours. « Sur fond de contexte géopolitique troublé en raison du conflit en Ukraine, l'inflation, qui devrait atteindre en moyenne 5,5% en 2022, est devenue l'objet d'une âpre bataille politique entre les oppositions et l'exécutif. Élisabeth Borne avait déjà annoncé la hausse de 4% des pensions de retraite avant le résultat des législatives, mais était restée plus floue sur le montant de l'augmentation des prestations sociales. Ces hausses programmées dans le projet de loi « pouvoir d'achat » ne sont qu'un volet des mesures concoctées par le gouvernement pour répondre à la hausse des prix. Celles-ci sont dévoilées au compte-goutte, comme la hausse de 4% de la prime d'activité, le chèque inflation, le dégel des rémunérations des fonctionnaires, le bouclier tarifaire sur l'énergie ou encore le triplement et à la pérennisation de la prime de pouvoir d'achat » continue le quotidien.