Contre la fourrure, 30 millions d’amis en appelle aux « consommacteurs ». Pour la fondation qui est opposée à l’utilisation de fourrure à des fins vestimentaires, ce n’est que par la pression des consommateurs que les marques peuvent faire définitivement disparaitre la fourrure des magasins. L’organisation en veut pour preuve que la situation a largement évolué ces dernières années.
« Givenchy, Gucci, Armani, Balenciaga, Stella Mc Cartney, Burberry, Versace, ou encore, Jean-Paul Gaultier... Un nombre croissant de créateurs a renoncé à la fourrure animale à la faveur d'alternatives, aussi éthiques qu'esthétiques ! Des prises de position fortes, qui s'inscrivent dans un mouvement accru en faveur du bien-être animal, l'opinion publique refusant désormais en masse les souffrances infligées aux animaux » avance le communiqué de 30 Millions d’amis.
Signe que la mode est un secteur de symboles et de messages superficiels, le rapport à la fourrure semble avoir changé à partir du moment où des créateurs y ont vu une occasion de se montrer engagés. « Des créateurs ont même trouvé une alternative à la fourrure animale à la fois atypique et écologique : la fourrure à base de toile de jeans ! Le designer italien Tiziano Guardini a lancé une collection de vêtements faits à partir de ce coton biodégradable recyclé qu'il a baptisé « fourrure de denim ». La marque ukrainienne Ksenia Schnaider fabrique également des vestes en fausse fourrure à partir de cette même matière première. L'entreprise Ecopel, quant à elle, est allée jusqu'à créer de la fausse fourrure à partir de bouteilles en plastique réutilisées. Plus récemment, elle a conçu une gamme composée, en partie, de résidus de maïs, très prisés par la styliste Stella Mc Cartney » continue le texte.
En parvenant à faire de la fausse fourrure et de l’écologie une mode, les associations ont lancé un grand changement dans un secteur qui répond à ses propres règles.
« Givenchy, Gucci, Armani, Balenciaga, Stella Mc Cartney, Burberry, Versace, ou encore, Jean-Paul Gaultier... Un nombre croissant de créateurs a renoncé à la fourrure animale à la faveur d'alternatives, aussi éthiques qu'esthétiques ! Des prises de position fortes, qui s'inscrivent dans un mouvement accru en faveur du bien-être animal, l'opinion publique refusant désormais en masse les souffrances infligées aux animaux » avance le communiqué de 30 Millions d’amis.
Signe que la mode est un secteur de symboles et de messages superficiels, le rapport à la fourrure semble avoir changé à partir du moment où des créateurs y ont vu une occasion de se montrer engagés. « Des créateurs ont même trouvé une alternative à la fourrure animale à la fois atypique et écologique : la fourrure à base de toile de jeans ! Le designer italien Tiziano Guardini a lancé une collection de vêtements faits à partir de ce coton biodégradable recyclé qu'il a baptisé « fourrure de denim ». La marque ukrainienne Ksenia Schnaider fabrique également des vestes en fausse fourrure à partir de cette même matière première. L'entreprise Ecopel, quant à elle, est allée jusqu'à créer de la fausse fourrure à partir de bouteilles en plastique réutilisées. Plus récemment, elle a conçu une gamme composée, en partie, de résidus de maïs, très prisés par la styliste Stella Mc Cartney » continue le texte.
En parvenant à faire de la fausse fourrure et de l’écologie une mode, les associations ont lancé un grand changement dans un secteur qui répond à ses propres règles.