La sécheresse extrême a provoqué des incendies monstres. Conséquence directe du réchauffement climatique global, la multiplication des feux de forêts impose de mettre en place de grandes mesures d’adaptation. S’appuyant sur la situation de la France, les Nations Unies soulignent l’urgence de la situation.
« Aujourd'hui, un important incendie de forêt en France a détruit des milliers d'hectares de forêt et contraint de nombreuses personnes à fuir leur domicile. Entre-temps, un temps sec, une chaleur extrême et des vents forts se sont combinés pour attiser les feux de forêt en Europe, aux États-Unis et dans d'autres régions du monde au cours des dernières semaines. Les incendies de forêt extrêmes sont dévastateurs pour les personnes, la biodiversité et les écosystèmes. Ils exacerbent également le changement climatique en contribuant de manière significative aux émissions de gaz à effet de serre. Si l'Europe et l'Amérique du Nord sont actuellement dans la ligne de mire, plus tôt dans l'année, de grandes parties du Chili et de l'Argentine ont été la proie des flammes. Il s'agit notamment de vastes étendues de tourbières, réserves essentielles de carbone qui, lorsqu'elles sont libérées, alimentent le réchauffement planétaire » écrit le Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE).
Le PNUE met en avant l’expertise d’une de ses responsables pour les Caraïbes et l’Amérique du Sud. Car la situation dans cette région, particulièrement le Chili qui a perdu 1 200 hectares de forêts en un mois, a permis de relever des manquements et failles importantes : « Une approche coordonnée nécessite un travail planifié, permanent, systématique et conjoint, avec une attention particulière pour les communautés directement exposées à cette menace. Dans ce contexte, la prévention des incendies de forêt doit viser la population qui vit dans les zones à risque. Toutefois, un financement approprié est nécessaire pour de tels efforts. Une intervention efficace contre les incendies exige également de comprendre l'écosystème en question, sa vulnérabilité ou son adaptation au feu, la quantité de combustible disponible, les biens, les infrastructures et les vies menacés, ainsi que la probabilité qu'un foyer d'incendie se transforme en feu de forêt. Il est important de promouvoir les réseaux régionaux de collaboration, en particulier entre les pays ayant des écosystèmes et des menaces similaires. »
« Aujourd'hui, un important incendie de forêt en France a détruit des milliers d'hectares de forêt et contraint de nombreuses personnes à fuir leur domicile. Entre-temps, un temps sec, une chaleur extrême et des vents forts se sont combinés pour attiser les feux de forêt en Europe, aux États-Unis et dans d'autres régions du monde au cours des dernières semaines. Les incendies de forêt extrêmes sont dévastateurs pour les personnes, la biodiversité et les écosystèmes. Ils exacerbent également le changement climatique en contribuant de manière significative aux émissions de gaz à effet de serre. Si l'Europe et l'Amérique du Nord sont actuellement dans la ligne de mire, plus tôt dans l'année, de grandes parties du Chili et de l'Argentine ont été la proie des flammes. Il s'agit notamment de vastes étendues de tourbières, réserves essentielles de carbone qui, lorsqu'elles sont libérées, alimentent le réchauffement planétaire » écrit le Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE).
Le PNUE met en avant l’expertise d’une de ses responsables pour les Caraïbes et l’Amérique du Sud. Car la situation dans cette région, particulièrement le Chili qui a perdu 1 200 hectares de forêts en un mois, a permis de relever des manquements et failles importantes : « Une approche coordonnée nécessite un travail planifié, permanent, systématique et conjoint, avec une attention particulière pour les communautés directement exposées à cette menace. Dans ce contexte, la prévention des incendies de forêt doit viser la population qui vit dans les zones à risque. Toutefois, un financement approprié est nécessaire pour de tels efforts. Une intervention efficace contre les incendies exige également de comprendre l'écosystème en question, sa vulnérabilité ou son adaptation au feu, la quantité de combustible disponible, les biens, les infrastructures et les vies menacés, ainsi que la probabilité qu'un foyer d'incendie se transforme en feu de forêt. Il est important de promouvoir les réseaux régionaux de collaboration, en particulier entre les pays ayant des écosystèmes et des menaces similaires. »