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Importante pollution au fioul en Loire-Atlantique

06/04/2016



En Loire-Atlantique, le déversement potentiel de 550.000 litres de fioul domestique a causé une très importante pollution.



Source : Pixabay, image libre de droits.
Source : Pixabay, image libre de droits.
Un article en ligne du journal Le Parisien explique qu’« une importante pollution au fioul domestique, avec le déversement potentiel de 550.000 litres de ce carburant, a eu lieu mardi en Loire-Atlantique après la rupture, par un engin de chantier, d'un pipeline souterrain reliant la raffinerie Total de Donges à un dépôt en Ille-et-Vilaine. »

Il ajoute que « l'accident s'est déroulé en milieu de matinée au lieu-dit ‘Tragouët’ sur la commune de Sainte-Anne-sur-Brivet, au nord-ouest de la Loire-Atlantique, lors de travaux pour renforcer une ligne haute tension rapporte le journal Ouest France. »

En fait, Le Parisien explique qu’« un engin de chantier a endommagé un pipeline de Total transportant du fioul domestique entre sa raffinerie de Donges (Loire-Atlantique), située au bord de l'estuaire de la Loire, et un de ses dépôts à Vern-sur-Seiche, près de Rennes. »
 

Une importante fuite d’hydrocarbures

Dans un communiqué, la préfecture de Loire-Atlantique a précisé qu’ « une importante fuite d'hydrocarbure a été rapidement détectée avec potentiellement 550 m3 (550.000 litres) déversés sur ce secteur » au maximum.

Ces informations de la préfecture surviennent « après une réévaluation de la pollution à ce chiffre par Total, qui avait dans un premier temps estimé la fuite à 380.000 litres. »

La préfecture ajoute que « dix maisons ont été évacuées et une solution de relogement est proposée à la vingtaine d'habitants concernés », ajoutant qu’ « un périmètre est actuellement en cours de définition pour interdire la consommation d'eau des puits tant humaine qu'animale. Il est d'ores et déjà recommandé aux habitants qui se situent aux alentours de ne pas consommer l'eau des puits ». 

Quant aux autorités, elles ont estimé que « le réseau d'eau potable n'est pas concerné » et qu’il n'y avait par conséquent « aucune contre-indication à la consommation de l'eau du robinet. »

Lire l’intégralité de l’article du Parisien ici.
 






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