Au travail les femmes peuvent faire face à des difficultés que les hommes ne rencontrent pas. Outre les problèmes de différence de traitement et à l’égalité en général, le harcèlement toucherait environ une femme sur cinq. Une proportion importante mais qui doit être relativisée étant donné les très grands écarts observés selon les femmes, leur apparence physique ou leur poste. C’est le portrait que dessine une étude Ifop pour le site VieHealthy.com réalisée en ligne.
« Cette enquête, qui est la plus récente sur le sujet, vient quantifier l'ampleur et l'impact des actes de harcèlement ou d'agression à caractère sexuel subis au travail. Elle vient aussi et surtout briser "certaines idées reçues sur les caractéristiques des victimes ou le profil type de leurs harceleurs", notent les auteurs » rapporte le Huffington Post. « Le harcèlement verbal et visuel représente la forme la plus fréquente. 34% des sondées ont ainsi fait l'objet de sifflements, de gestes ou de commentaires grossiers une fois (15%) ou à répétition (19%), et 27% ont subi des remarques gênantes sur leur tenue ou leur physique (dont 14% de façon répétée). Les pressions psychologiques pour obtenir un acte de nature sexuelle (en échange d'une embauche ou d'une promotion par exemple) sont quant à elles plus rares, même si bien réelles : 8% des femmes ont déjà été soumises à ce type de chantage » continue l’article.
Contrairement ce qu’on pourrait penser, les femmes les plus concernées par le harcèlement ne sont pas celles qui sont le plus bas dans la chaine hiérarchique de l’entreprise. Bien qu’évidemment pas inexistant, les résultats du sondage montrent que l’abus de position dominante n’est pas le cas le plus répandu. « Le harcèlement sexuel au travail provient en fait de collègues n'exerçant aucune autorité hiérarchique, ou de personnes extérieures, telles que des clients ou des fournisseurs. Les sondées ont heureusement tendance à parler des actes dont elles ont été victimes à autrui » explique le site. Malheureusement, c’est souvent à un proche et non à un responsable syndical, un responsable RH ou un supérieur que les faits sont rapportés. La balle est dans le camp de l’entreprise qui doit dissuader les harceleurs et donner des recours aux harcelées.
« Cette enquête, qui est la plus récente sur le sujet, vient quantifier l'ampleur et l'impact des actes de harcèlement ou d'agression à caractère sexuel subis au travail. Elle vient aussi et surtout briser "certaines idées reçues sur les caractéristiques des victimes ou le profil type de leurs harceleurs", notent les auteurs » rapporte le Huffington Post. « Le harcèlement verbal et visuel représente la forme la plus fréquente. 34% des sondées ont ainsi fait l'objet de sifflements, de gestes ou de commentaires grossiers une fois (15%) ou à répétition (19%), et 27% ont subi des remarques gênantes sur leur tenue ou leur physique (dont 14% de façon répétée). Les pressions psychologiques pour obtenir un acte de nature sexuelle (en échange d'une embauche ou d'une promotion par exemple) sont quant à elles plus rares, même si bien réelles : 8% des femmes ont déjà été soumises à ce type de chantage » continue l’article.
Contrairement ce qu’on pourrait penser, les femmes les plus concernées par le harcèlement ne sont pas celles qui sont le plus bas dans la chaine hiérarchique de l’entreprise. Bien qu’évidemment pas inexistant, les résultats du sondage montrent que l’abus de position dominante n’est pas le cas le plus répandu. « Le harcèlement sexuel au travail provient en fait de collègues n'exerçant aucune autorité hiérarchique, ou de personnes extérieures, telles que des clients ou des fournisseurs. Les sondées ont heureusement tendance à parler des actes dont elles ont été victimes à autrui » explique le site. Malheureusement, c’est souvent à un proche et non à un responsable syndical, un responsable RH ou un supérieur que les faits sont rapportés. La balle est dans le camp de l’entreprise qui doit dissuader les harceleurs et donner des recours aux harcelées.