C’est un coup de pub mais aussi une démarche solidaire que la société de bâtiment Socateb lance en envoyant quatre collaborateurs à l’assaut du Mont Blanc. Les quatre employés de la société de la région parisienne et un sapeur-pompier ont en effet décidé de grimper le plus haut sommet de France au profit de l’association d’aide aux personnes handicapées ASSAP Solidarité 77.
« Si ces aventuriers grimpent aussi haut, ce n'est pas simplement par amour du sport, mais aussi pour l'association ASSAP Solidarité 77: cette association de sapeurs pompiers met en lien soldats du feu et personnes en situation de handicap, afin de permettre à ces dernières de prendre part à des épreuves sportives intenses » raconte Le Figaro qui relaye cette histoire dans ses colonnes.
Si aucune personne en situation de handicap ne va se joindre à l’équipée, le directeur de l’entreprise assure qu’un don sera fait par l’entreprise à l’association en fonction de la différence de dénivelé et du nombre de participants. Le don devrait être de l’ordre de 5 000 euros a fait valoir un des grimpeurs, cité par le journal.
« Les cinq randonneurs de l'extrême n'ont jamais fait d'alpinisme à ce niveau. Mais ils seront encadrés par trois guides de montagne, et ils sont de base sportifs. Pour ce défi, ils s'entraînent depuis six mois. Et dès le lendemain de leur expédition, ils comptent reprendre le travail (…) Leur engagement est fortement encouragé par l'entreprise Socateb. Pour son directeur, Jean-Pierre Valente, il est question de «l'image de marque de Socateb», mais pas que » lit-on plus loin. Passionné de sport, le chef d’entreprise est convaincu que les défis physiques sont très utiles pour l’esprit d’équipe, les qualités personnelles et professionnelles.
Lire en intégralité l’article sur le site du journal Le Figaro
« Si ces aventuriers grimpent aussi haut, ce n'est pas simplement par amour du sport, mais aussi pour l'association ASSAP Solidarité 77: cette association de sapeurs pompiers met en lien soldats du feu et personnes en situation de handicap, afin de permettre à ces dernières de prendre part à des épreuves sportives intenses » raconte Le Figaro qui relaye cette histoire dans ses colonnes.
Si aucune personne en situation de handicap ne va se joindre à l’équipée, le directeur de l’entreprise assure qu’un don sera fait par l’entreprise à l’association en fonction de la différence de dénivelé et du nombre de participants. Le don devrait être de l’ordre de 5 000 euros a fait valoir un des grimpeurs, cité par le journal.
« Les cinq randonneurs de l'extrême n'ont jamais fait d'alpinisme à ce niveau. Mais ils seront encadrés par trois guides de montagne, et ils sont de base sportifs. Pour ce défi, ils s'entraînent depuis six mois. Et dès le lendemain de leur expédition, ils comptent reprendre le travail (…) Leur engagement est fortement encouragé par l'entreprise Socateb. Pour son directeur, Jean-Pierre Valente, il est question de «l'image de marque de Socateb», mais pas que » lit-on plus loin. Passionné de sport, le chef d’entreprise est convaincu que les défis physiques sont très utiles pour l’esprit d’équipe, les qualités personnelles et professionnelles.
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