« Le projet était dans les tuyaux depuis un an. Il est désormais en passe de se réaliser. GDF Suez a annoncé un accord de financement pour la construction d’une usine de liquéfaction de gaz à Hackberry en Louisiane pour un montant de 10 milliards de dollars » lit-on dans Les Echos. A défaut de pouvoir se lancer en France, le groupe va donc soutenir un projet aux Etats-Unis dévoile le quotidien économique.
Grâce à son investissement, la société française possédera ainsi 16,6% du projet Cameron LNG, détenu à 50,2% par l’américain Sempra Energy. À ses côtés les groupes japonais Mitsibishi et Mitsui seront représentés avec le même pourcentage dans la joint-venture créée pour le projet.
« Le projet avait reçu l’aval du ministère de l’Energie (DoE) américain en février dernier et de la Commission fédérale de régulation de l’énergie nucléaire (FERC). Ne restait plus qu’à valider la décision finale d’investissement » continue Les Echos.
Grâce à son investissement, la société française possédera ainsi 16,6% du projet Cameron LNG, détenu à 50,2% par l’américain Sempra Energy. À ses côtés les groupes japonais Mitsibishi et Mitsui seront représentés avec le même pourcentage dans la joint-venture créée pour le projet.
« Le projet avait reçu l’aval du ministère de l’Energie (DoE) américain en février dernier et de la Commission fédérale de régulation de l’énergie nucléaire (FERC). Ne restait plus qu’à valider la décision finale d’investissement » continue Les Echos.
Hausse de la demande en gaz liquide en Asie
Lorsque l’ensemble des structures de production seront installées, GDF Suez « disposera de 4 millions de tonnes de GNL par an qui pourront être vendus à ses clients dans le monde. » Toujours d’après le quotidien économique, ce projet devrait rencontrer un grand succès notamment grâce à la hausse de la demande en gaz naturel liquéfié (GNL). Signe de cette tendance, en mai dernier le groupe français a signé un accord pour 20 ans avec la compagnie d’électricité japonaise Tohoku Electric Power, qui souffre des mesures de précautions sur le nucléaire qui ont suivi la catastrophe de Fukushima.
D’après l’analyse des Echos, l’investissement en Louisiane « fait partie de la stratégie de GDF Suez qui a fait du développement du GNL un des grands axes de sa stratégie. Le groupe revendique le troisième rang mondial avec 16 millions de tonnes de gaz vendus chaque année ainsi que 14 méthaniers sous contrat d’affrètement. »
D’après l’analyse des Echos, l’investissement en Louisiane « fait partie de la stratégie de GDF Suez qui a fait du développement du GNL un des grands axes de sa stratégie. Le groupe revendique le troisième rang mondial avec 16 millions de tonnes de gaz vendus chaque année ainsi que 14 méthaniers sous contrat d’affrètement. »