Un article publié sur le site Les Echos de la Franchise remet à l’ordre du jour les débats sur la représentation des salariés dans les franchises de grands groupes. Pour l’auteur de l’article, il s’agit d’une question de premier plan dans la définition de la RSE de la franchise et le commerce associé. En effet il rappelle que « parmi les sujets de préoccupations, on retrouve légitimement le sort des salariés. »
Dans ce domaine, l’auteur ressort une note publiée par le Think Tank Terra Nova qui avait publié en décembre 2014 un texte sur le sujet : « Franchise : mettre fin à l’hypocrisie sociale. » Ce texte est critique de la manière avec laquelle étaient traités les salariés des franchises de grandes marques. « Ils sont dans le giron de grands groupes mais n’ont aucun droit de négociation ni de représentativité. Cela va dans le sens de ces groupes qui créent ainsi une concurrence déloyale sur leur secteur. (…) les salariés des franchisés sont coupés de tout lien juridique, tant avec les autres franchisés qu’avec le franchiseur. (…) Ils font partie d’une entité souvent de taille conséquente, mais la réalité de leur situation professionnelle est celle de salariés de très petites entreprises » explique Terra Nova.
Dans ce domaine, l’auteur ressort une note publiée par le Think Tank Terra Nova qui avait publié en décembre 2014 un texte sur le sujet : « Franchise : mettre fin à l’hypocrisie sociale. » Ce texte est critique de la manière avec laquelle étaient traités les salariés des franchises de grandes marques. « Ils sont dans le giron de grands groupes mais n’ont aucun droit de négociation ni de représentativité. Cela va dans le sens de ces groupes qui créent ainsi une concurrence déloyale sur leur secteur. (…) les salariés des franchisés sont coupés de tout lien juridique, tant avec les autres franchisés qu’avec le franchiseur. (…) Ils font partie d’une entité souvent de taille conséquente, mais la réalité de leur situation professionnelle est celle de salariés de très petites entreprises » explique Terra Nova.
Déontologie avant la mode de la RSE
Face à ces attaques très vives la Fédération française de la franchise (FFF) s’est défendue. « Les solutions préconisées dans ce texte reviennent tout simplement à tuer le modèle de la franchise. La proposition de co-employeur signifie une perte totale d’indépendance du franchisé. S’il ne peut plus recruter, il ne maitrise plus son compte d’exploitation » affirme la présidente de la FFF, Chantal Zimmer, citée par Les Echos de la franchise.
La représentante estime que par rapport aux petits commerces de tailles comparables, la situation des franchises est favorable. « Nous avons un code de déontologie qui est la colonne vertébrale de la franchise. Il inclut le respect des droits et obligations, la transmission d’un savoir-faire. Nous n’avons pas attendu les RSE pour travailler cet aspect puisque le code de déontologie existe depuis 1972 » a-t-elle ajouté.
Lire ici l'article sur le site Les Echos de la Franchise
La représentante estime que par rapport aux petits commerces de tailles comparables, la situation des franchises est favorable. « Nous avons un code de déontologie qui est la colonne vertébrale de la franchise. Il inclut le respect des droits et obligations, la transmission d’un savoir-faire. Nous n’avons pas attendu les RSE pour travailler cet aspect puisque le code de déontologie existe depuis 1972 » a-t-elle ajouté.
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