L’Iran doit appliquer d’importantes mesures contre la pollution. A Téhéran et dans d’autres villes, des écoles resteront fermées lundi 21 décembre, en raison de la pollution qui affecte une partie du pays depuis plusieurs jours.
Un article en ligne du site France24 explique l’importance de ce pic de pollution dans cette région, où « les écoles étaient déjà fermées dimanche à Téhéran, Islam-Shahr et Shahr-Rey et dans la province d'Alborz, située à l'ouest de la capitale. »
Un article en ligne du site France24 explique l’importance de ce pic de pollution dans cette région, où « les écoles étaient déjà fermées dimanche à Téhéran, Islam-Shahr et Shahr-Rey et dans la province d'Alborz, située à l'ouest de la capitale. »
« Ne pas sortir dans la rue »
L’article de France24 explique que « les autorités ont décidé de prolonger la fermeture de ces établissements scolaires, mais aussi à Ispahan et Arak, deux villes industrielles du centre du pays, particulièrement polluées. »
Par conséquent, « il a été demandé aux personnes âgées, aux enfants et aux malades, notamment du cœur, de ne pas sortir dans la rue » et « toutes les compétitions sportives ont été annulées et les services d'urgence mis en état d'alerte. Cette situation pourrait être prolongée jusqu'à jeudi, selon les médias. »
Ainsi, l’article précise que « la pollution de l'air atteint depuis plusieurs jours des niveaux très élevés à Téhéran et son agglomération qui comptent 14 millions d'habitants, mais aussi dans une dizaine d'autres villes. »
Il ajoute qu’« à Téhéran, malgré la fermeture des écoles, l'index de la qualité de l'air atteignait dimanche le niveau 141 (contre 148 samedi), à neuf points du niveau rouge, alors que le niveau normal est compris entre 0 et 50 selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS). En 2012, la pollution avait contribué à la mort prématurée de 80 000 personnes dans tout le pays. »
En Iran, « la pollution est provoquée à 80 % par les gaz d'échappement des cinq millions de véhicules et presque autant de motocyclettes circulant quotidiennement dans la capitale embouteillée de manière quasi permanente et dont les effets sont amplifiés en hiver. »
Lire l’intégralité de l’article de France24 ici
Par conséquent, « il a été demandé aux personnes âgées, aux enfants et aux malades, notamment du cœur, de ne pas sortir dans la rue » et « toutes les compétitions sportives ont été annulées et les services d'urgence mis en état d'alerte. Cette situation pourrait être prolongée jusqu'à jeudi, selon les médias. »
Ainsi, l’article précise que « la pollution de l'air atteint depuis plusieurs jours des niveaux très élevés à Téhéran et son agglomération qui comptent 14 millions d'habitants, mais aussi dans une dizaine d'autres villes. »
Il ajoute qu’« à Téhéran, malgré la fermeture des écoles, l'index de la qualité de l'air atteignait dimanche le niveau 141 (contre 148 samedi), à neuf points du niveau rouge, alors que le niveau normal est compris entre 0 et 50 selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS). En 2012, la pollution avait contribué à la mort prématurée de 80 000 personnes dans tout le pays. »
En Iran, « la pollution est provoquée à 80 % par les gaz d'échappement des cinq millions de véhicules et presque autant de motocyclettes circulant quotidiennement dans la capitale embouteillée de manière quasi permanente et dont les effets sont amplifiés en hiver. »
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