Un article en ligne du journal Le Figaro, d’après une dépêche AFP, explique que la Guadeloupe reste en alerte rouge pollution pour le quatrième jour de suite, « en raison de brumes de poussières désertiques qui continuent de dégrader la qualité de l'air sur l'ensemble de l'archipel », d’après les informations données par la préfecture lundi.
Le passage de brumes de sable
La préfecture ajoute, dans un communiqué, que « cette pollution est principalement liée au passage de brumes de sable [en provenance du Sahara] sur l'archipel guadeloupéen », ajoutant que l'activité humaine tels que la « combustion d'énergie fossile, les moyens de transports, les activités industrielles », participe à cette importante pollution.
Par conséquent, c’est samedi dernier, qu’« en raison du dépassement du seuil d'alerte relatif à la concentration en particules fines contenues dans l'air, la préfecture avait lancé l'alerte rouge. » Car comme l’explique l’article du Figaro, « l'indice atmo, fourni par Gwad'Air, l'organisme agréé de surveillance de la qualité de l'air, s'établissait à 10, "très mauvais" (sur une échelle de 10). »
Ainsi, pour réduire le phénomène de pollution, « il est recommandé aux Guadeloupéens de diminuer leur vitesse sur la route et de préférer covoiturage et autres moyens de transports en commun. »
Par ailleurs, « les personnes vulnérables (femmes enceintes, nourrissons et jeunes enfants, personnes de plus de 65 ans, asthmatiques, etc.) et sensibles, doivent éviter les déplacements sur les grands axes routiers et les activités physiques et sportives intenses. »
Lire l’intégralité de l’article du Figaro ici.
Par conséquent, c’est samedi dernier, qu’« en raison du dépassement du seuil d'alerte relatif à la concentration en particules fines contenues dans l'air, la préfecture avait lancé l'alerte rouge. » Car comme l’explique l’article du Figaro, « l'indice atmo, fourni par Gwad'Air, l'organisme agréé de surveillance de la qualité de l'air, s'établissait à 10, "très mauvais" (sur une échelle de 10). »
Ainsi, pour réduire le phénomène de pollution, « il est recommandé aux Guadeloupéens de diminuer leur vitesse sur la route et de préférer covoiturage et autres moyens de transports en commun. »
Par ailleurs, « les personnes vulnérables (femmes enceintes, nourrissons et jeunes enfants, personnes de plus de 65 ans, asthmatiques, etc.) et sensibles, doivent éviter les déplacements sur les grands axes routiers et les activités physiques et sportives intenses. »
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