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Finadorm : un modèle de durabilité et d’engagement

Adélaïde Motte
07/11/2024



Le groupe Finadorm, bien connu pour ses marques telles que Dunlopillo et Mathou, s’est positionné comme un acteur phare dans le secteur de l’habitat et de la literie grâce à un modèle alliant innovation et responsabilité sociétale.



Finadorm réduit son empreinte carbone

Avec le lancement de son projet ambitieux Fin’Impact en 2023, Finadorm a su démontrer qu'une démarche proactive en matière de RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises) peut non seulement répondre aux défis environnementaux actuels, mais aussi inspirer des actions concrètes à grande échelle. Dès ses débuts, le projet Fin’Impact a été conçu pour devenir le pilier des initiatives RSE du groupe. Ce programme, qui a mobilisé 90 collaborateurs lors de la saison 2, a pour but de réduire l’empreinte carbone tout en stimulant une culture d'entreprise responsable.

Les résultats obtenus à ce jour parlent d’eux-mêmes : en 2023, le bilan carbone consolidé du groupe a atteint 52 832 tCO2e, marquant une baisse impressionnante de 19 % par rapport aux 65 473 tCO2e de l'année précédente. Cette diminution est le fruit d’un effort continu impliquant des actions telles que l’installation de panneaux photovoltaïques sur l’usine Mathou, qui génèrent une économie de plus de 3,8 tCO2e par an, et le passage à la technologie LED, permettant une réduction annuelle de 7 tCO2e sur certains sites de production comme Dunlopillo. « Chaque action de Finadorm a un impact. À nous de les rendre vertueuses », affirme un responsable du projet.

Une meilleure conscience environnementale au sein de Finadorm

L’engagement de Finadorm ne s’arrête pas là. En publiant son premier rapport RSE en 2023, le groupe a dévoilé un plan stratégique ambitieux visant 2030. Parmi les six objectifs principaux, on retrouve l’augmentation de 40 % de la part des énergies renouvelables dans la consommation des sites de production et la réduction des émissions de gaz à effet de serre de 10 % par an pour les fournisseurs. De plus, 40 % de la flotte de véhicules du groupe doit passer aux technologies hybrides, électriques ou aux biocarburants d'ici 2030, un projet qui témoigne de la volonté de Finadorm de repenser ses opérations logistiques pour un impact plus vert.

Pour renforcer l’engagement des salariés, le groupe a instauré la Fin’Académie, un programme de formation interne qui vise à partager les savoirs et à valoriser les compétences des collaborateurs. D’ici 2030, l’objectif est que 15 % des employés aient participé à ces formations, contribuant ainsi à une meilleure conscience environnementale et à une cohésion d’équipe renforcée. Dans cette même optique, l’enquête Fin’&moi, menée annuellement, est utilisée pour mesurer le bien-être au travail et initier des améliorations continues, avec un taux de participation notable de 58 % dès sa première édition.






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