« L’adaptation au changement est un enjeu critique, de survie. De nombreux chefs d’entreprise et cadres de direction vous le diront, la conjoncture économique, sociale et internationale est à ce point problématique que leur priorité n’est pas ou ’est plus la responsabilité sociétale des entreprises (RSE), mais l’adaptation au changement » commence le spécialiste de la RSE, Constant Calvo, dans une tribune publiée par Les Echos.
D’après lui, la principale difficulté des entreprises aujourd’hui est qu’elles subissent le changement et ne le choisissent pas. « Le changement systémique n'est pas un changement s'inscrivant dans une décision stratégique dont l'entreprise peut mesurer la durée et les impacts, mais un changement subi, diffus, un bouleversement global venant de toutes parts, dont il n'est pas possible d'évaluer la magnitude ni de localiser l'épicentre » précise le consultant en RSE.
D’après lui, la principale difficulté des entreprises aujourd’hui est qu’elles subissent le changement et ne le choisissent pas. « Le changement systémique n'est pas un changement s'inscrivant dans une décision stratégique dont l'entreprise peut mesurer la durée et les impacts, mais un changement subi, diffus, un bouleversement global venant de toutes parts, dont il n'est pas possible d'évaluer la magnitude ni de localiser l'épicentre » précise le consultant en RSE.
Difficulté mais aussi opportunité
« Dans le cas du changement systémique, les résistances ne sont pas de même nature ni de même degré. Confrontée à l'accélération technologique, sociale, et du rythme de vie, l'entreprise doit faire face au désengagement et à la démobilisation non seulement de ses salariés, mais également des cadres. Le sentiment éprouvé est moins celui d'une perte de repères que d'un sentiment de renoncement voire d'aliénation » appuie l’auteur.
Pourtant, la tribune termine sur une note positive qui estime qu’il est aussi possible de tirer le meilleur de cette situation de forte pression sur les sociétés : « À la différence de la conduite du changement portée par la direction, le changement systémique peut représenter une opportunité pour mener une politique RSE. Portée par l'ensemble de l'entreprise et ancrée à la culture et aux pratiques du plus grand nombre de collaborateurs, la démarche RSE est seule susceptible de substituer un changement pleinement assumé - durable et responsable - au changement systémique. »
Lire en intégralité la tribune de Constant Calvo sur le site du journal Les Echos
Pourtant, la tribune termine sur une note positive qui estime qu’il est aussi possible de tirer le meilleur de cette situation de forte pression sur les sociétés : « À la différence de la conduite du changement portée par la direction, le changement systémique peut représenter une opportunité pour mener une politique RSE. Portée par l'ensemble de l'entreprise et ancrée à la culture et aux pratiques du plus grand nombre de collaborateurs, la démarche RSE est seule susceptible de substituer un changement pleinement assumé - durable et responsable - au changement systémique. »
Lire en intégralité la tribune de Constant Calvo sur le site du journal Les Echos