A chaque solution, un problème. C’est ainsi que l’on pourrait résumer la situation du développement des énergies renouvelables. Le problème est bien connu mais TV5 Monde a le mérite de le présenter comme un défi global. Trop souvent en effet, les commentateurs se contentent de montrer les inconvénients du développement d’une énergie renouvelable sans souligner la situation générale. « Dans un monde conjuguant changement climatique, déclin des espèces, raréfaction de l'eau, ozone en péril et pollutions diverses, les solutions apportées d'un côté peuvent devenir problèmes ailleurs » introduit très justement l’article de la chaine de télévision française.
Parmi les exemples donnés, la pollution de boues des usines de désalinisation qui répondent pourtant au défi des réserves d’eau douce. Il y a aussi le bannissement des aérosols pour lutter contre le trou de la couche d’ozone. « Pour remplacer ces substances, utilisées notamment pour la réfrigération, de nouveaux gaz sont mis sur le marché, les HFC. Jusqu'à ce qu'on s'aperçoive, une vingtaine d'années plus tard, qu'il s'agit de gaz à effet de serre, très nocifs pour le climat cette fois, car bien plus puissants que le CO2 ou le méthane » rappelle l’article.
Mais c’est du côté des énergies renouvelables que le problème est le plus flagrant. « Eolien, solaire... les technologies vertes fournissent une énergie décarbonée, renouvelable, favorable au climat. Mais les équipements nécessitent des petits métaux critiques, dont l'extraction requiert toujours plus d'énergie et n'est pas toujours vertueuse sur le plan environnemental » écrit TV5 Monde. Pour ce qui est des éoliennes, qui produisent désormais 4% de l’électricité mondiale, elles tuent des centaines de milliers d’oiseaux chaque année et ont des conséquences dramatiques sur la biodiversité Même scénario avec les voitures électriques ou les biocarburants qui ont des conséquences néfastes.
Si toutes ces remarques ne doivent pas être des arguments en faveur de l’immobilise ou des énergies fossiles, il est grand temps d’assumer les aspects les moins encourageants pour essayer d’en limiter les dégâts.
Parmi les exemples donnés, la pollution de boues des usines de désalinisation qui répondent pourtant au défi des réserves d’eau douce. Il y a aussi le bannissement des aérosols pour lutter contre le trou de la couche d’ozone. « Pour remplacer ces substances, utilisées notamment pour la réfrigération, de nouveaux gaz sont mis sur le marché, les HFC. Jusqu'à ce qu'on s'aperçoive, une vingtaine d'années plus tard, qu'il s'agit de gaz à effet de serre, très nocifs pour le climat cette fois, car bien plus puissants que le CO2 ou le méthane » rappelle l’article.
Mais c’est du côté des énergies renouvelables que le problème est le plus flagrant. « Eolien, solaire... les technologies vertes fournissent une énergie décarbonée, renouvelable, favorable au climat. Mais les équipements nécessitent des petits métaux critiques, dont l'extraction requiert toujours plus d'énergie et n'est pas toujours vertueuse sur le plan environnemental » écrit TV5 Monde. Pour ce qui est des éoliennes, qui produisent désormais 4% de l’électricité mondiale, elles tuent des centaines de milliers d’oiseaux chaque année et ont des conséquences dramatiques sur la biodiversité Même scénario avec les voitures électriques ou les biocarburants qui ont des conséquences néfastes.
Si toutes ces remarques ne doivent pas être des arguments en faveur de l’immobilise ou des énergies fossiles, il est grand temps d’assumer les aspects les moins encourageants pour essayer d’en limiter les dégâts.