La pérovskite continue à faire parler d’elle. Ce matériau connu du grand public depuis 2009, année où les tests ont commencé, pourrait bien révolutionner le secteur de l’énergie solaire. Depuis les premières études, la pérovskite est considérée comme prometteuse avec un rendement énergétique de 20% lors des tests en laboratoire. C’est, explique les scientifiques, proche des niveaux des panneaux classiques en silicium.
De matériau alternatif, des chercheurs de l’université de Stanford en Californie pourraient bien avoir propulsé la pérovskite à la pointe de la recherche sur le solaire. En effet, apprend-on par le site spécialisé Sciences et avenir, « Les scientifiques s’attendaient en effet à ce que l’ajout de pérovskite sur des cellules en silicium augmente leur rendement énergétique de 50 %… et c’est exactement ce que viennent de prouver des chercheurs de l’université de Stanford (États-Unis) ! Des résultats très prometteurs pour l’industrie de l’énergie solaire.
De matériau alternatif, des chercheurs de l’université de Stanford en Californie pourraient bien avoir propulsé la pérovskite à la pointe de la recherche sur le solaire. En effet, apprend-on par le site spécialisé Sciences et avenir, « Les scientifiques s’attendaient en effet à ce que l’ajout de pérovskite sur des cellules en silicium augmente leur rendement énergétique de 50 %… et c’est exactement ce que viennent de prouver des chercheurs de l’université de Stanford (États-Unis) ! Des résultats très prometteurs pour l’industrie de l’énergie solaire.
Matériau connu depuis 1839
Décrit en 1839, le premier spécimen de pérovskite a été déniché sous la forme d’un minéral, baptisé en hommage au minéralogiste russe Lev Alexeïevitch Perovski. Son nom désigne depuis toute une classe de matériaux qui présentent la même structure cristalline où les atomes sont organisés en octaèdre. Aujourd’hui, on en connaît plusieurs centaines. Parmi elles, des pérovskites dites hybrides car constituées d’une combinaison de composés organiques et minéraux » continue Sciences et avenir.
Ce serait une de ces matières hybrides, « un organohalogénure de plomb » qui est au centre des chercheurs. D’après leurs travaux, « en seulement 5 ans, son rendement énergétique — le pourcentage de rayonnement solaire transformé en électricité — a été multiplié par 4 ! En comparaison, il aura fallu 40 ans de recherche sur le silicium avant qu’il atteigne son efficacité actuelle (26 % en conditions de laboratoire et en moyenne 15 % pour les panneaux vendus dans le commerce). »
Si l’on ajoute à ces progrès en terme de rendement, le faible coût de production de ces cellules solaires, l’électricité pourrait couter deux fois moins cher. Les scientifiques ont cependant expliqué que plusieurs étapes devaient être franchie avant d’envisager une commercialisation ?
Lire l’article de Science et Avenir dans son intégralité
Ce serait une de ces matières hybrides, « un organohalogénure de plomb » qui est au centre des chercheurs. D’après leurs travaux, « en seulement 5 ans, son rendement énergétique — le pourcentage de rayonnement solaire transformé en électricité — a été multiplié par 4 ! En comparaison, il aura fallu 40 ans de recherche sur le silicium avant qu’il atteigne son efficacité actuelle (26 % en conditions de laboratoire et en moyenne 15 % pour les panneaux vendus dans le commerce). »
Si l’on ajoute à ces progrès en terme de rendement, le faible coût de production de ces cellules solaires, l’électricité pourrait couter deux fois moins cher. Les scientifiques ont cependant expliqué que plusieurs étapes devaient être franchie avant d’envisager une commercialisation ?
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