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Il existe un potentiel économique formidable dans la transition écologique. Un rapport de la Commission mondiale sur l’économie et le climat, relayé par le site L’Usine Nouvelle , montre en effet que des richesses extraordinaires pourraient être créés. « Une transition qui concerne non seulement l’énergie propre qui - avec une réforme des subventions et la tarification du carbone – pourrait bénéficier de 2 800 milliards de dollars supplémentaires par an en 2030, mais aussi les villes, l’alimentation et l’utilisation des terres, l’accès à l’eau potable et l’industrie. L'industrie pourrait bénéficier des nouvelles technologies pour réduire de 26% la consommation énergétique au niveau mondial au cours des 25 prochaines années, ce qui entraînerait une réduction de 32 % des émissions mondiales de CO2 du système énergétique » résume le site.
Sauf que ces prévisions sont conditionnées à un changement radical et les critères retenus sont très loin de notre réalité. « Ce rapport demande aux principales puissances économiques de fixer un prix du carbone d’au moins 40 à 80 dollars d’ici 2020. D’ici à 2025, ces pays devraient supprimer subventions et allègements fiscaux "accordés aux exploitations d’énergies fossiles et aux exploitations agricoles polluantes". Les pays du G20 et les banques devront aussi investir au moins 100 milliards de dollars par an dans les infrastructures durables d’ici 2020 » rapporte L’Usine Nouvelle.
Et de compléter que « toujours à cet horizon, les entreprises du classement Fortune 500 devront avoir des objectifs conformes aux accords de Paris. Il faut aussi engager 50 milliards de dollars supplémentaires en faveur de l’innovation, construire une approche axée sur les besoins des citoyens pour "une transition juste". Une transition qui concerne non seulement l’énergie propre qui - avec une réforme des subventions et la tarification du carbone – pourrait bénéficier de 2 800 milliards de dollars supplémentaires par an en 2030, mais aussi les villes, l’alimentation et l’utilisation des terres, l’accès à l’eau potable et l’industrie. »
Lire en intégralité l’article source sur le site L’Usine Nouvelle
Sauf que ces prévisions sont conditionnées à un changement radical et les critères retenus sont très loin de notre réalité. « Ce rapport demande aux principales puissances économiques de fixer un prix du carbone d’au moins 40 à 80 dollars d’ici 2020. D’ici à 2025, ces pays devraient supprimer subventions et allègements fiscaux "accordés aux exploitations d’énergies fossiles et aux exploitations agricoles polluantes". Les pays du G20 et les banques devront aussi investir au moins 100 milliards de dollars par an dans les infrastructures durables d’ici 2020 » rapporte L’Usine Nouvelle.
Et de compléter que « toujours à cet horizon, les entreprises du classement Fortune 500 devront avoir des objectifs conformes aux accords de Paris. Il faut aussi engager 50 milliards de dollars supplémentaires en faveur de l’innovation, construire une approche axée sur les besoins des citoyens pour "une transition juste". Une transition qui concerne non seulement l’énergie propre qui - avec une réforme des subventions et la tarification du carbone – pourrait bénéficier de 2 800 milliards de dollars supplémentaires par an en 2030, mais aussi les villes, l’alimentation et l’utilisation des terres, l’accès à l’eau potable et l’industrie. »
Lire en intégralité l’article source sur le site L’Usine Nouvelle