Le temps des énergies fossiles est loin d’être révolu et la découverte d’une réserve de pétrole en Europe est un événement de taille. Alors lorsque la petite société d’exploration britannique UK Oil & Gas Investments (UKOG) annonce avoir découvert un gisement à une quarantaine de kilomètres de Londres, près de l’aéroport de Gatwick.
La presse britannique s’est vite emparée de l’annonce qui est devenue un véritable événement outre-manche. D’après les annonces du président de la société d’exploration, il pourrait s’agir d’une réserve de plusieurs milliards de barils voire même d’une centaine de milliards. Si ces chiffres étaient confirmés il s’agirait d’une quantité deux fois supérieure que ce qui a été récupéré en mer du Nord ces cinquante dernières années. « Le bassin serait du même acabit que celui de Bakken au nord-ouest des Etats-Unis ou encore celui de Bazhenov en Sibérie, assure le communiqué. Entre 3 % et 15 % de cette manne pourrait être exploitée pour la production, a poursuivi le président » lit-on dans Les Echos.
La presse britannique s’est vite emparée de l’annonce qui est devenue un véritable événement outre-manche. D’après les annonces du président de la société d’exploration, il pourrait s’agir d’une réserve de plusieurs milliards de barils voire même d’une centaine de milliards. Si ces chiffres étaient confirmés il s’agirait d’une quantité deux fois supérieure que ce qui a été récupéré en mer du Nord ces cinquante dernières années. « Le bassin serait du même acabit que celui de Bakken au nord-ouest des Etats-Unis ou encore celui de Bazhenov en Sibérie, assure le communiqué. Entre 3 % et 15 % de cette manne pourrait être exploitée pour la production, a poursuivi le président » lit-on dans Les Echos.
Nouvelles techniques d’exploration, nouvelles découvertes
Si ces réserves n’avaient pas encore été découvertes c’est parce que la société a foré plus profondément que les précédentes fois. UKOG a ainsi révélé que les découvertes ont été possibles grâce à des techniques de forage qui n’existaient pas dans les années 1980.
« Après ces déclarations fracassantes, les investisseurs se sont rués sur l’action UKOG, cotée sur le marché non réglementé AIM à Londres. Le titre a bondi de plus de 300 % en séance jeudi, avant de terminer la journée en hausse de 169,23 % » continue Les Echos. Le quotidien économique révèle cependant que les experts se sont montrés prudents. En effet, d’autres sites dans le sud du pays produisent du pétrole. Si cette réserve avait du potentiel, il faut néanmoins effectuer de nouvelles explorations pour déterminer « ce qui serait récupérable économiquement et techniquement » explique un responsable du secteur pétrolier britannique cité par le quotidien.
« Après ces déclarations fracassantes, les investisseurs se sont rués sur l’action UKOG, cotée sur le marché non réglementé AIM à Londres. Le titre a bondi de plus de 300 % en séance jeudi, avant de terminer la journée en hausse de 169,23 % » continue Les Echos. Le quotidien économique révèle cependant que les experts se sont montrés prudents. En effet, d’autres sites dans le sud du pays produisent du pétrole. Si cette réserve avait du potentiel, il faut néanmoins effectuer de nouvelles explorations pour déterminer « ce qui serait récupérable économiquement et techniquement » explique un responsable du secteur pétrolier britannique cité par le quotidien.