« Parmi les 57 projets soumis en 2016, 19 projets ont été sélectionnés. Cet appel à projets, lancé par l'Andra en coopération avec l'ANR et avec le soutien du Programme d'investissements d'avenir, avait pour objectif de faire émerger des solutions innovantes pour optimiser, en amont du stockage, la gestion des déchets radioactifs issus du démantèlement des installations nucléaires » explique le communiqué de l’Andra.
L’initiative a pour objectif de stimuler l’innovation en mettant à contribution ceux qui le souhaitent. Ainsi, « l'appel à projets était organisé en deux éditions : la première édition, lancée en 2014, a d'ores et déjà permis de soutenir 10 projets parmi les 30 soumis pour un financement total de 15,6 Meuros. (…) Pour cette seconde édition lancée fin 2015 et dont les résultats viennent de paraître, le taux de participation a quasi-doublé : 57 projets soumis et 19 sélectionnés » continue le texte.
Dans les prochaines années, la question du démantèlement s’annonce de plus en plus centrale. C’est pour cette raison que l’Andra a décidé de viser ce domaine pour son appel à projets, « Il s'agissait en particulier de favoriser la transposition à la gestion des déchets radioactifs, de technologies et de savoir-faire existants ou en développement dans d'autres domaines : traitement des déchets conventionnels, nouveaux matériaux développés pour le génie civil... » précise le communiqué.
Parmi les projets retenus, le texte revient sur quatre en particuliers. Portés par des grands groupes ou des PME, des laboratoires ou des universités, ces projets sont à la pointe de la technologie dans le domaine. Il y a notamment le projet CYBER, porté par le BRGM et la société SAIREM, qui développe un « procédé innovant permettant de séparer les constituants des bétons radioactifs (pâte de ciment, sable, et granulats) afin de permettre leur réutilisation en tant que matériau de remplissage des alvéoles de stockage ou constituants de nouveaux matériaux cimentaires, par exemple des mortiers pour le blocage des déchets radioactifs dans les conteneurs. »
L’initiative a pour objectif de stimuler l’innovation en mettant à contribution ceux qui le souhaitent. Ainsi, « l'appel à projets était organisé en deux éditions : la première édition, lancée en 2014, a d'ores et déjà permis de soutenir 10 projets parmi les 30 soumis pour un financement total de 15,6 Meuros. (…) Pour cette seconde édition lancée fin 2015 et dont les résultats viennent de paraître, le taux de participation a quasi-doublé : 57 projets soumis et 19 sélectionnés » continue le texte.
Dans les prochaines années, la question du démantèlement s’annonce de plus en plus centrale. C’est pour cette raison que l’Andra a décidé de viser ce domaine pour son appel à projets, « Il s'agissait en particulier de favoriser la transposition à la gestion des déchets radioactifs, de technologies et de savoir-faire existants ou en développement dans d'autres domaines : traitement des déchets conventionnels, nouveaux matériaux développés pour le génie civil... » précise le communiqué.
Parmi les projets retenus, le texte revient sur quatre en particuliers. Portés par des grands groupes ou des PME, des laboratoires ou des universités, ces projets sont à la pointe de la technologie dans le domaine. Il y a notamment le projet CYBER, porté par le BRGM et la société SAIREM, qui développe un « procédé innovant permettant de séparer les constituants des bétons radioactifs (pâte de ciment, sable, et granulats) afin de permettre leur réutilisation en tant que matériau de remplissage des alvéoles de stockage ou constituants de nouveaux matériaux cimentaires, par exemple des mortiers pour le blocage des déchets radioactifs dans les conteneurs. »