Le classement RSE de l’agence allemande Oekom est riche en enseignements. Il montre par exemple que la France est un pays particulièrement avancé dans le domaine avec seize entreprises qui sont sur le podium du développement durable dans leur secteur. Outre PSA pour le secteur automobile (voir ici l’article de RSE Magazine) on trouve aussi Michelin, Schneider Electric SE, CNP Assurances et Sanofi en pôle position de leur domaine.
Derrière la France on retrouve l’Allemagne avec douze entreprises, puis le Royaume-Uni avec 11. Les Etats-Unis (6), la Suède (6), les Pays-Bas (5) et le Japon (4) suivent. « a Loi NRE avec le reporting obligatoire pour les entreprises en matière de RSE a fait naître la RSE en France. Depuis, il y a eu beaucoup d'autres choses au niveau réglementaire, comme l'article 173 » explique Julia Kaake, une responsable d’Oekom en France.
« Ladislas Smia, responsable adjoint de la recherche d'investissement responsable chez Mirova, nuance toutefois l'importance des obligations réglementaires. Pour lui, il faut aussi regarder les entreprises qui, de par leur business model, se positionnent sur des enjeux importants du développement durable. Il cite notamment le cas de Tesla. " Il ne faut pas s'arrêter sur la communication, et voir le business model des entreprises " » rapporte le site spécialisé Boursorama.
Par opposition à cette situation positive en France, le classement montre des disparités très importantes selon les pays. De manière globale la situation ne s’est pas tellement arrangée puisque, rapporte le site, « la part des entreprises du classement ayant obtenu le statut " Prime " d'oekom (bien ou excellent) n'a augmenté sur un an que de 16,29 % à 16,5 %. De plus, la majorité des sociétés (43,31 %) continue d'afficher " un engagement inadapté dans le domaine du développement durable " . »
Derrière la France on retrouve l’Allemagne avec douze entreprises, puis le Royaume-Uni avec 11. Les Etats-Unis (6), la Suède (6), les Pays-Bas (5) et le Japon (4) suivent. « a Loi NRE avec le reporting obligatoire pour les entreprises en matière de RSE a fait naître la RSE en France. Depuis, il y a eu beaucoup d'autres choses au niveau réglementaire, comme l'article 173 » explique Julia Kaake, une responsable d’Oekom en France.
« Ladislas Smia, responsable adjoint de la recherche d'investissement responsable chez Mirova, nuance toutefois l'importance des obligations réglementaires. Pour lui, il faut aussi regarder les entreprises qui, de par leur business model, se positionnent sur des enjeux importants du développement durable. Il cite notamment le cas de Tesla. " Il ne faut pas s'arrêter sur la communication, et voir le business model des entreprises " » rapporte le site spécialisé Boursorama.
Par opposition à cette situation positive en France, le classement montre des disparités très importantes selon les pays. De manière globale la situation ne s’est pas tellement arrangée puisque, rapporte le site, « la part des entreprises du classement ayant obtenu le statut " Prime " d'oekom (bien ou excellent) n'a augmenté sur un an que de 16,29 % à 16,5 %. De plus, la majorité des sociétés (43,31 %) continue d'afficher " un engagement inadapté dans le domaine du développement durable " . »