Le rapport de l’OMS sur l’eau est alarmant. Il montre que deux milliards de personnes utilisent de l’eau où l’on détecte des traces d’excréments. Une situation inquiétante qui serait même la cause de 500 000 décès chaque année. Pire, l’Organisation mondiale de la santé avance que pour la plupart, ils utilisent l’eau en respectant les encouragements réglementaires locaux qui estiment que l’eau est potable.
Une des raisons de cette situation reposerait sur les difficultés à trouver les fonds pour engager une évolution. « Pour être dans les clous, il faudrait injecter 114 milliards de dollars par an (107 milliards d'euros), sans compter les frais de maintenance, selon les chiffres de la Banque mondiale. Or, 80% des pays membres de l'ONU déclarent avoir des difficultés à trouver les fonds nécessaires » avance la chaine d’informations en continue LCI .
L’enjeu sanitaire est central dans ce dossier qui implique de nombreux facteurs. Qu’il s’agisse de la politique, des avances technologiques ou de l’état des services publics, les causes de cette situation sont nombreuses. « Pourtant, les investissements pourraient faire coup double. En plus des enjeux de santé, ils pourraient créer "des emplois", souligne Guy Rider, le directeur général de l’Organisation internationale du travail (OIT) et de l’ONU-Eau pour qui le défi est "faisable". Encore faut-il arriver à trouver de nouvelles sources de financement et pour cela, l’OMS propose d’explorer la piste des taxes. Un moyen qui pourrait également aider à développer la recherche » poursuite l’article de LCI.
Parmi les pistes avancées, l’article rappelle que des inventions peuvent permettre de produire de l’eau potable de qualité à moindre coût. Ce serait notamment le cas de scientifiques qui ont mis au point une membrane d’oxyde de graphène qui permet de transformer l’eau salée de la mer en eau potable de qualité.
Une des raisons de cette situation reposerait sur les difficultés à trouver les fonds pour engager une évolution. « Pour être dans les clous, il faudrait injecter 114 milliards de dollars par an (107 milliards d'euros), sans compter les frais de maintenance, selon les chiffres de la Banque mondiale. Or, 80% des pays membres de l'ONU déclarent avoir des difficultés à trouver les fonds nécessaires » avance la chaine d’informations en continue LCI .
L’enjeu sanitaire est central dans ce dossier qui implique de nombreux facteurs. Qu’il s’agisse de la politique, des avances technologiques ou de l’état des services publics, les causes de cette situation sont nombreuses. « Pourtant, les investissements pourraient faire coup double. En plus des enjeux de santé, ils pourraient créer "des emplois", souligne Guy Rider, le directeur général de l’Organisation internationale du travail (OIT) et de l’ONU-Eau pour qui le défi est "faisable". Encore faut-il arriver à trouver de nouvelles sources de financement et pour cela, l’OMS propose d’explorer la piste des taxes. Un moyen qui pourrait également aider à développer la recherche » poursuite l’article de LCI.
Parmi les pistes avancées, l’article rappelle que des inventions peuvent permettre de produire de l’eau potable de qualité à moindre coût. Ce serait notamment le cas de scientifiques qui ont mis au point une membrane d’oxyde de graphène qui permet de transformer l’eau salée de la mer en eau potable de qualité.