« La marque américaine Aerochromics s’est lancée dans la fabrication de trois sweat-shirts 100 % coton aux propriétés un peu spéciales. Non seulement ces vêtements détectent la pollution environnante, mais en plus, ils préviennent le porteur en changeant de couleur », explique un article en ligne du site Konbini.
L’article poursuit : « Au départ, le vêtement que vous achetez est noir. » La marque Aerochromics explique sur son site internet : « Notre produit passe du noir au blanc à 60 AQI (air quality index). Le motif du sweat se révèle totalement à 160 AQI. »
L’article poursuit : « Au départ, le vêtement que vous achetez est noir. » La marque Aerochromics explique sur son site internet : « Notre produit passe du noir au blanc à 60 AQI (air quality index). Le motif du sweat se révèle totalement à 160 AQI. »
Un vêtement qui réagit aux composants dangereux
Ainsi, « aux États-Unis, la qualité de l’air est considérée comme “bonne” de 0 à 50 AQI. De 50 à 151 AQI, l’impact sur la santé est “modéré” ou concerne des personnes sensibles et, à partir de 151 AQI, ce n’est tout simplement pas sain de respirer cet air-là. »
L’article de Konbini explique que « chaque vêtement a été crée spécifiquement pour mesurer une donnée. Les éléments traqués sont les suivants : le monoxyde de carbone, les matières particulaires ou encore la radioactivité. »
Par conséquent, « quand ces composants sont repérés à un niveau trop important, voire dangereux, le sweat réagit. The Verge a contacté le fabricant pour savoir comment ces sweats révolutionnaires fonctionnaient. Pour celui détectant les particules, deux capteurs à l’avant et à l’arrière enclenchent un dispositif thermique qui transforme des points noirs en points blancs quand le niveau de pollution perçu est jugé trop important. »
En outre, « dans le cas du deuxième, la détection de monoxyde de carbone en trop grande quantité fait réagir des produits chimiques contenus dans la teinture, métamorphosant les bandes noires en bandes blanches. Côté détection de la radioactivité, le prototype est encore en cours. »
Lire l'intégralité de l'article de Konbini ici.
L’article de Konbini explique que « chaque vêtement a été crée spécifiquement pour mesurer une donnée. Les éléments traqués sont les suivants : le monoxyde de carbone, les matières particulaires ou encore la radioactivité. »
Par conséquent, « quand ces composants sont repérés à un niveau trop important, voire dangereux, le sweat réagit. The Verge a contacté le fabricant pour savoir comment ces sweats révolutionnaires fonctionnaient. Pour celui détectant les particules, deux capteurs à l’avant et à l’arrière enclenchent un dispositif thermique qui transforme des points noirs en points blancs quand le niveau de pollution perçu est jugé trop important. »
En outre, « dans le cas du deuxième, la détection de monoxyde de carbone en trop grande quantité fait réagir des produits chimiques contenus dans la teinture, métamorphosant les bandes noires en bandes blanches. Côté détection de la radioactivité, le prototype est encore en cours. »
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