La dendrochimie est l’étude des composants chimiques présents dans les arbres. Cette technique consiste à prélever un échantillon de bois sur un arbre afin d’y déterminer la présence d’agents polluants. La plupart du temps, les échantillons utilisés par les scientifiques se présentent sous forme de carottes de quelques millimètres de diamètre. En de plus rares occasions, ils examinent également des segments entiers de tronc d’arbre.
Le traçage des particules polluantes dans un arbre requiert un examen de ses composants à l’échelle du micron. Le dendrochimie demeure donc un procédé hautement technique. Pour le profane, ce travail s’apparente vite à la recherche d’une aiguille dans une botte de foin, mais les scientifiques disposent d’outils automatisés. Le traitement analytique des échantillons est en effet largement informatisé et permet aux spécialistes de détecter assez rapidement la présence d’agents polluants
La dendrochimie est une innovation importante pour les sciences de l’environnement. Cette discipline correspond à la transposition des techniques de la dendrochronologie à l’étude de la pollution de l’environnement. Cette dernière méthode scientifique permet de dater avec une grande précision l’âge d’un arbre en étudiant sa morphologie et notamment les cernes de croissance que l’on peut observer sur la section d’un tronc.
Tout comme la dendrochronologie, la dendrochimie est porteuse d’enseignement précieux pour la compréhension de notre environnement. Elle permet notamment aux scientifiques d’étudier l’impact de la pollution, du climat ou de la mitoyenneté avec certaines formes de vie sur la croissance des arbres. Il s’agit bien sûr d’un domaine d’étude crucial pour les sciences environnementales puisqu’il permet notamment de déterminer la capacité des arbres à stocker et transformer le carbone.
La dendrochimie a d’ores et déjà permis l’identification de polluants variés dans les organismes végétaux ainsi que leur source. Certains insecticides, hydrocarbures ou encore certains métaux lourds figurent parmi les polluants dont la dendrochimie permet l’identification et la cartographie. Cette technique sert à établir une meilleure traçabilité de la pollution environnementale et pourrait, à terme favoriser, une meilleure application des normes en la matière. Elle s’ajoute ainsi à un panel croissant d’outils de contrôle environnemental.
Le traçage des particules polluantes dans un arbre requiert un examen de ses composants à l’échelle du micron. Le dendrochimie demeure donc un procédé hautement technique. Pour le profane, ce travail s’apparente vite à la recherche d’une aiguille dans une botte de foin, mais les scientifiques disposent d’outils automatisés. Le traitement analytique des échantillons est en effet largement informatisé et permet aux spécialistes de détecter assez rapidement la présence d’agents polluants
La dendrochimie est une innovation importante pour les sciences de l’environnement. Cette discipline correspond à la transposition des techniques de la dendrochronologie à l’étude de la pollution de l’environnement. Cette dernière méthode scientifique permet de dater avec une grande précision l’âge d’un arbre en étudiant sa morphologie et notamment les cernes de croissance que l’on peut observer sur la section d’un tronc.
Tout comme la dendrochronologie, la dendrochimie est porteuse d’enseignement précieux pour la compréhension de notre environnement. Elle permet notamment aux scientifiques d’étudier l’impact de la pollution, du climat ou de la mitoyenneté avec certaines formes de vie sur la croissance des arbres. Il s’agit bien sûr d’un domaine d’étude crucial pour les sciences environnementales puisqu’il permet notamment de déterminer la capacité des arbres à stocker et transformer le carbone.
La dendrochimie a d’ores et déjà permis l’identification de polluants variés dans les organismes végétaux ainsi que leur source. Certains insecticides, hydrocarbures ou encore certains métaux lourds figurent parmi les polluants dont la dendrochimie permet l’identification et la cartographie. Cette technique sert à établir une meilleure traçabilité de la pollution environnementale et pourrait, à terme favoriser, une meilleure application des normes en la matière. Elle s’ajoute ainsi à un panel croissant d’outils de contrôle environnemental.