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La tendance est mauvaise, et continue à empirer. Si rien de drastique n’est adopté, les déchets plastiques pourraient être presque multipliés par trois d’ici 2040. Mais la situation n’est pas désespérée pour autant, explique une étude publiée par la revue Science. Car avec des politiques ambitieuses de lutte contre les déchets, on pourrait réduire les déchets de 80% et atteindre en 2040 un niveau en baisse de 40% par rapport à 2016.
En lisant les grandes lignes de conclusion de ce travail, deux grandes routes s’offrent à nous. Mais surtout que contrairement à la régulation du climat, dans le domaine des déchets, les politiques ambitieuses donnent des résultats immédiats et perceptibles. « Ce travail inédit, publié de pair avec un rapport destiné au grand public et aux décideurs et intitulé « Breaking the Plastic Wave », a été réalisé par un panel de dix-sept experts internationaux possédant des compétences variées dans le domaine des plastiques et des microplastiques, qui se sont réunis à intervalles réguliers en 2018 et 2019 dans le cadre de groupes de travail et de séances plénières. Son financement a été assuré par l’organisation non gouvernementale américaine The Pew Charitable Trusts. Cet effort international est parti du constat qu’il manquait une réelle stratégie, globale et concrète, pour réduire les déchets en plastique dans le monde, et ce, en dépit d’une prise de conscience croissante de l’ampleur du problème » rapporte Le Monde.
Cinq scénarios ont été envisagés. Le premier est celui qui ne change rien, jusqu’à celui le plus ambitieux avec des mesures combinées drastiques. « Ils ont constaté qu’à l’heure actuelle, quelque 40 millions de tonnes de plastique étaient rejetées chaque année dans l’environnement, dont près de 30 millions sur les terres et 11 millions dans les cours d’eau. Et que si rien n’était fait pour accroître la lutte contre cette pollution, la quantité déversée dans les milieux terrestres et aquatiques chaque année serait respectivement multipliée par 2,8 et 2,6 d’ici à 2040. Avec pour résultat la fuite dans l’environnement de 1,3 milliard de tonnes de plastique en l’espace de vingt ans » résume le quotidien français.
Malgré ces projections qui rendent le projet réaliste, il faudrait des chocs simultanés dans le domaine industriel, les habitudes de consommation et les normes forts et planétaires pour y parvenir.
En lisant les grandes lignes de conclusion de ce travail, deux grandes routes s’offrent à nous. Mais surtout que contrairement à la régulation du climat, dans le domaine des déchets, les politiques ambitieuses donnent des résultats immédiats et perceptibles. « Ce travail inédit, publié de pair avec un rapport destiné au grand public et aux décideurs et intitulé « Breaking the Plastic Wave », a été réalisé par un panel de dix-sept experts internationaux possédant des compétences variées dans le domaine des plastiques et des microplastiques, qui se sont réunis à intervalles réguliers en 2018 et 2019 dans le cadre de groupes de travail et de séances plénières. Son financement a été assuré par l’organisation non gouvernementale américaine The Pew Charitable Trusts. Cet effort international est parti du constat qu’il manquait une réelle stratégie, globale et concrète, pour réduire les déchets en plastique dans le monde, et ce, en dépit d’une prise de conscience croissante de l’ampleur du problème » rapporte Le Monde.
Cinq scénarios ont été envisagés. Le premier est celui qui ne change rien, jusqu’à celui le plus ambitieux avec des mesures combinées drastiques. « Ils ont constaté qu’à l’heure actuelle, quelque 40 millions de tonnes de plastique étaient rejetées chaque année dans l’environnement, dont près de 30 millions sur les terres et 11 millions dans les cours d’eau. Et que si rien n’était fait pour accroître la lutte contre cette pollution, la quantité déversée dans les milieux terrestres et aquatiques chaque année serait respectivement multipliée par 2,8 et 2,6 d’ici à 2040. Avec pour résultat la fuite dans l’environnement de 1,3 milliard de tonnes de plastique en l’espace de vingt ans » résume le quotidien français.
Malgré ces projections qui rendent le projet réaliste, il faudrait des chocs simultanés dans le domaine industriel, les habitudes de consommation et les normes forts et planétaires pour y parvenir.
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