Danone veut renouer avec la rentabilité. Danone est plombé par les résultats de ses activités d’eau en bouteilles. Pas besoin d’être expert en stratégie pour en déduire les options du groupe. D’autant que les résultats du trimestre publiés mardi 20 avril le confirment. « Son activité "eaux en bouteille", frappée de plein fouet par la crise, est de nouveau en baisse, d'autant que les habitudes de consommation commencent à changer. Sous pression depuis quelques années, pour des questions environnementales, les eaux en bouteilles ont de moins en moins la cote dans l'hexagone. Depuis plusieurs années, les ventes reculent en France (-2,3 % en volumes entre 2019 et 2020, selon le panéliste IRI) et la crise sanitaire n'a fait qu'accentuer le phénomène », rapporte BFMTV.
Les mauvais chiffres sont directement causés par les fermetures des restaurants et autres lieux d’accueil du public. 45% des bouteilles d’eau sont achetées pour des consommations non domestiques. « Et les ventes ont très logiquement ralenti l’an dernier, en raison des mesures de confinement et de la fermeture des établissements sur une longue période. Au niveau monde, la crise a même été particulièrement violente. La question, désormais, est de savoir s’il s’agit d’un trou d’air ou d’un changement à plus long terme. Car les eaux en bouteilles sont régulièrement pointées du doigt pour leur empreinte environnementale : emballages en plastique, transport sur de longues distances, et parfois surexploitation des sources… » appuie la télévision.
Il y a seulement trois ans, la branche eau représentait 18% du chiffre d’affaires du groupe. Mais la guerre est déclarée au plastique et désormais la moindre innovation ou astuce logistique qui peut permettre de faire disparaitre des produits à usage unique est favorisée. Signe que miser et favoriser le recyclage n’est plus suffisant. De quoi justifier la décision de vendre l’emblématique marque Évian ? Possible répondent les observateurs du secteur.
Les mauvais chiffres sont directement causés par les fermetures des restaurants et autres lieux d’accueil du public. 45% des bouteilles d’eau sont achetées pour des consommations non domestiques. « Et les ventes ont très logiquement ralenti l’an dernier, en raison des mesures de confinement et de la fermeture des établissements sur une longue période. Au niveau monde, la crise a même été particulièrement violente. La question, désormais, est de savoir s’il s’agit d’un trou d’air ou d’un changement à plus long terme. Car les eaux en bouteilles sont régulièrement pointées du doigt pour leur empreinte environnementale : emballages en plastique, transport sur de longues distances, et parfois surexploitation des sources… » appuie la télévision.
Il y a seulement trois ans, la branche eau représentait 18% du chiffre d’affaires du groupe. Mais la guerre est déclarée au plastique et désormais la moindre innovation ou astuce logistique qui peut permettre de faire disparaitre des produits à usage unique est favorisée. Signe que miser et favoriser le recyclage n’est plus suffisant. De quoi justifier la décision de vendre l’emblématique marque Évian ? Possible répondent les observateurs du secteur.