Imaginez le nombre de touristes qui vont aller sur la plage. Imaginez le nombre de fois où ils vont aller se tremper dans la mer ou dans des cours d’eau. Alors qu’à chaque baignade une partie de la crème solaire se dissout dans l’eau, le tableau environnemental n’est pas fameux. « D’après une étude italienne de 2008, 25 % de la crème solaire des baigneurs – et de ses filtres chimiques - se propage dans l’océan, contribuant fortement au blanchissement des coraux. Risque similaire pour le plancton, dont la croissance peut être inhibée par le dioxyde de titane présent dans certaines crèmes. Autre crainte : certains ingrédients que contiennent ces produits pourraient être des perturbateurs endocriniens » résume le site Info Durable.
Le site spécialisé avance quelques éléments clés à avoir en tête si on souhaite se baigner sans craindre ni le soleil ni d’empoisonner la biodiversité : « Éthylhexyl methoxycinnamate, cyclopentasiloxane, rétinyl palmitate, octyl-méthoxycinnamate (OMC), 4-méthylbenzylidène camphre (4-MBC) ou encore le fameux oxybenzone qui favoriserait le blanchiment des coraux. Ces ingrédients figurent au nombre de ceux qu’il faudrait bannir, rappelle 60 millions de consommateurs dans son dossier "le soleil en toute sécurité". Pour ne pas trop avoir à vous pencher sur l’étiquette, une autre possibilité est de choisir des crèmes qui ne contiennent pas trop d’ingrédients. »
En somme, un bref coup d’œil sur la composition au dos du produit doit nous aider à évaluer sa valeur. Moins il y a d’ingrédients mieux c’est. Certains spécialistes estiment même qu’il faut veiller à ne pas dépasser la vingtaine « Par ailleurs, la plupart des crèmes solaires contiennent des nanoparticules, dont les effets sont controversés. Le SCCS, autorité scientifique européenne, jugeait en janvier 2018 ces composants "sans danger dans le cadre d'un usage dans des produits cosmétiques ayant vocation à être appliqués directement sur une peau en bonne santé, intacte ou déjà abîmée par le soleil" bien que certaines nanoparticules, notamment le dioxyde de titane, pourraient être toxiques par inhalation. Il est donc recommandé de ne pas utiliser ces crèmes en spray ou en poudre », poursuit Info Durable.
Le site spécialisé avance quelques éléments clés à avoir en tête si on souhaite se baigner sans craindre ni le soleil ni d’empoisonner la biodiversité : « Éthylhexyl methoxycinnamate, cyclopentasiloxane, rétinyl palmitate, octyl-méthoxycinnamate (OMC), 4-méthylbenzylidène camphre (4-MBC) ou encore le fameux oxybenzone qui favoriserait le blanchiment des coraux. Ces ingrédients figurent au nombre de ceux qu’il faudrait bannir, rappelle 60 millions de consommateurs dans son dossier "le soleil en toute sécurité". Pour ne pas trop avoir à vous pencher sur l’étiquette, une autre possibilité est de choisir des crèmes qui ne contiennent pas trop d’ingrédients. »
En somme, un bref coup d’œil sur la composition au dos du produit doit nous aider à évaluer sa valeur. Moins il y a d’ingrédients mieux c’est. Certains spécialistes estiment même qu’il faut veiller à ne pas dépasser la vingtaine « Par ailleurs, la plupart des crèmes solaires contiennent des nanoparticules, dont les effets sont controversés. Le SCCS, autorité scientifique européenne, jugeait en janvier 2018 ces composants "sans danger dans le cadre d'un usage dans des produits cosmétiques ayant vocation à être appliqués directement sur une peau en bonne santé, intacte ou déjà abîmée par le soleil" bien que certaines nanoparticules, notamment le dioxyde de titane, pourraient être toxiques par inhalation. Il est donc recommandé de ne pas utiliser ces crèmes en spray ou en poudre », poursuit Info Durable.