Depuis des mois les associations d’aides des plus pauvres alertent sur ce qu’il se passe en France. La crise du Covid-19 et son impact notamment sur les petits boulots frappe de plein fouet les plus précaires. Une étude publiée par les banques alimentaires lundi 15 février le confirme encore un peu plus. Réalisée par l’institut CSA, cette étude affirme qu’une personne sur deux qui bénéficie de l’aide des banques alimentaires début 2021 le fait depuis moins d’un an.
En mars 2020 déjà, une augmentation de 25% des bénéficiaires avait été enregistrée. Et depuis le premier confinement, les professionnels et bénévoles notent une arrivée marquante de travailleurs pauvres, étudiants et diplômés. « Plus de 2,1 millions de personnes bénéficient de l’aide alimentaire en ce début d’année 2021, selon les banques alimentaires. Une importante augmentation du nombre de bénéficiaires, d’environ 25 %, avait été enregistrée en mars 2020, mois marqué par le premier confinement. Menée du 30 septembre au 10 novembre sur près de 1000 bénéficiaires, l’étude permet de « mesurer l’impact de la crise sanitaire sur la précarité alimentaire », soulignent les banques alimentaires dans un communiqué » raconte 20 Minutes .
Et le quotidien gratuit d’ajouter que « plus de la moitié (51 %) des personnes aidées ont déclaré avoir recours à l’aide alimentaire depuis moins d’un an. Parmi elles, 21 % y ont eu recours pour la première fois il y a moins de 3 mois et 14 % entre il y a trois mois et il y a six mois. « Si la perte d’emploi, la maladie et la séparation sont toujours les trois premières raisons de l’aggravation de la situation financière des bénéficiaires, l’impact de la crise sanitaire est palpable », indique l’étude. Ainsi, 12 % des répondants disent que leurs difficultés financières se sont aggravées à la suite de la crise sanitaire du Covid-19 ».
Un profil type du bénéficiaire se dégage. Plus de la moitié se rendent moins d’une fois par semaine, ils ont en moyenne 48 ans et 70% sont des femmes. Plus de 80% sont Français, et près d’un quart ont au moins leur bac. 80% d’entre eux sont sans emploi et 85% ont un logement stable. Avec des revenus moyens autour de 800 euros, l’aide alimentaire leur permet d’économiser autour de 90 euros.
En mars 2020 déjà, une augmentation de 25% des bénéficiaires avait été enregistrée. Et depuis le premier confinement, les professionnels et bénévoles notent une arrivée marquante de travailleurs pauvres, étudiants et diplômés. « Plus de 2,1 millions de personnes bénéficient de l’aide alimentaire en ce début d’année 2021, selon les banques alimentaires. Une importante augmentation du nombre de bénéficiaires, d’environ 25 %, avait été enregistrée en mars 2020, mois marqué par le premier confinement. Menée du 30 septembre au 10 novembre sur près de 1000 bénéficiaires, l’étude permet de « mesurer l’impact de la crise sanitaire sur la précarité alimentaire », soulignent les banques alimentaires dans un communiqué » raconte 20 Minutes .
Et le quotidien gratuit d’ajouter que « plus de la moitié (51 %) des personnes aidées ont déclaré avoir recours à l’aide alimentaire depuis moins d’un an. Parmi elles, 21 % y ont eu recours pour la première fois il y a moins de 3 mois et 14 % entre il y a trois mois et il y a six mois. « Si la perte d’emploi, la maladie et la séparation sont toujours les trois premières raisons de l’aggravation de la situation financière des bénéficiaires, l’impact de la crise sanitaire est palpable », indique l’étude. Ainsi, 12 % des répondants disent que leurs difficultés financières se sont aggravées à la suite de la crise sanitaire du Covid-19 ».
Un profil type du bénéficiaire se dégage. Plus de la moitié se rendent moins d’une fois par semaine, ils ont en moyenne 48 ans et 70% sont des femmes. Plus de 80% sont Français, et près d’un quart ont au moins leur bac. 80% d’entre eux sont sans emploi et 85% ont un logement stable. Avec des revenus moyens autour de 800 euros, l’aide alimentaire leur permet d’économiser autour de 90 euros.