La corruption ça ne concerne pas que les autres. Il ne s’agit pas que d’un problème pour grands groupes engagés à l’étranger. C’est en filigrane ce que l’on retient de la tribune de Camille Delcour publiée par Chef d’entreprise.fr. La consultante spécialiste dans la gestion des risques et de la fraude signe une contribution très intéressante sur le rapport que l’entreprise doit avoir avec cette problématique.
Le texte nous apprend d’abord qu’une entreprise sur deux est victime d’une tentative de corruption. « Il faut bien comprendre que, pour lutter contre la corruption, toute entreprise doit s'approprier la démarche consistant à instaurer un dispositif de lutte anticorruption. Ce dispositif doit impliquer toute la hiérarchie et concerner l'ensemble de l'organigramme de l'entreprise. En cas de fait avéré ou de suspicion, le lanceur d'alerte peut ainsi être toute personne employée dans l'entreprise. Pour aller plus loin, l'entreprise peut également impliquer ses partenaires. Le dispositif déployé ne sera efficace que s'il existe une cohérence entre le discours et les actions » explique la spécialiste.
Mais si c’est un sujet qui doit être considéré comme l’affaire de tous, le texte conseille de désigner un responsable anticorruption qui aura pour mission de vérifier que les grands principes sont appliqués. « Rien de mieux que le début de la nouvelle année pour se poser et prendre le recul nécessaire sur les risques encourus par votre entreprise. Cartographier les risques est un exercice annuel indispensable pour comprendre comment organiser la lutte anticorruption et antifraude au sein de l'entreprise et adapter les moyens aux risques et aux ressources. La cartographie des risques consiste à décrire l'ensemble des processus de l'entreprise et les risques, notamment de corruption, qui sont présents » conseille Camille Delcour.
Lire en intégralité l’article de Camille Delcour sur le site Chef d’entreprise.fr
Le texte nous apprend d’abord qu’une entreprise sur deux est victime d’une tentative de corruption. « Il faut bien comprendre que, pour lutter contre la corruption, toute entreprise doit s'approprier la démarche consistant à instaurer un dispositif de lutte anticorruption. Ce dispositif doit impliquer toute la hiérarchie et concerner l'ensemble de l'organigramme de l'entreprise. En cas de fait avéré ou de suspicion, le lanceur d'alerte peut ainsi être toute personne employée dans l'entreprise. Pour aller plus loin, l'entreprise peut également impliquer ses partenaires. Le dispositif déployé ne sera efficace que s'il existe une cohérence entre le discours et les actions » explique la spécialiste.
Mais si c’est un sujet qui doit être considéré comme l’affaire de tous, le texte conseille de désigner un responsable anticorruption qui aura pour mission de vérifier que les grands principes sont appliqués. « Rien de mieux que le début de la nouvelle année pour se poser et prendre le recul nécessaire sur les risques encourus par votre entreprise. Cartographier les risques est un exercice annuel indispensable pour comprendre comment organiser la lutte anticorruption et antifraude au sein de l'entreprise et adapter les moyens aux risques et aux ressources. La cartographie des risques consiste à décrire l'ensemble des processus de l'entreprise et les risques, notamment de corruption, qui sont présents » conseille Camille Delcour.
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