Ne pas s’engager pour l’environnement porte ses fruits. C’est la leçon malheureuse que l’on peut retenir du classement du World Economic Foum. Celui-ci vient de placer les Etats-Unis à la première place. Une annonce très symbolique alors que le pays a multiplié les renoncements et annonces qui s’éloignent de la transition écologique.
Pour autant, la remontée dans le classement du pays n’est pas le résultat de la politique menée depuis l’an dernier mais bien d’une évolution de la méthodologie du WEF. « Pour l'édition 2018 de son Rapport sur la compétitivité mondiale, le WEF, qui réunit chaque année en janvier l'élite économique et politique dans la station de ski huppée de Davos (est de la Suisse), a utilisé «une toute nouvelle méthodologie afin de bien saisir la dynamique de l'économie mondiale en ces temps de quatrième révolution industrielle». L'organisation a mesuré la compétitivité de 140 économies par le biais de 98 indicateurs répartis en 12 piliers, notamment les institutions, les infrastructures, la stabilité macroéconomique et la capacité d'innovation » » précise Le Figaro. En deuxième et troisième position on retrouve Singapour et l’Allemagne. La France quant à elle est à la 17ème place contre la 20ème lors du dernier classement.
Mais si l’innovation, l’entreprenariat et les institutions sont des facteurs clés pour la compétitivité d’un pays et participent au score de 85,6 sur 100 récolté par les Etats-Unis, d’autres aspects plus négatifs ne doivent pas être négligés : « le rapport dénonce aussi un « affaiblissement du tissu social et une détérioration du contexte sécuritaire ». Les États-Unis se classent ainsi à la 56ème place avec un taux d'homicides 5 fois plus élevé que le taux moyen des économies avancées. Le WEF souligne aussi le mauvais score dans le domaine de la santé, avec une espérance de vie en bonne santé de 67,7 ans (46ème place), soit trois ans de moins que la moyenne des économies avancées et six ans de moins qu'à Singapour et au Japon. »
Pour autant, la remontée dans le classement du pays n’est pas le résultat de la politique menée depuis l’an dernier mais bien d’une évolution de la méthodologie du WEF. « Pour l'édition 2018 de son Rapport sur la compétitivité mondiale, le WEF, qui réunit chaque année en janvier l'élite économique et politique dans la station de ski huppée de Davos (est de la Suisse), a utilisé «une toute nouvelle méthodologie afin de bien saisir la dynamique de l'économie mondiale en ces temps de quatrième révolution industrielle». L'organisation a mesuré la compétitivité de 140 économies par le biais de 98 indicateurs répartis en 12 piliers, notamment les institutions, les infrastructures, la stabilité macroéconomique et la capacité d'innovation » » précise Le Figaro. En deuxième et troisième position on retrouve Singapour et l’Allemagne. La France quant à elle est à la 17ème place contre la 20ème lors du dernier classement.
Mais si l’innovation, l’entreprenariat et les institutions sont des facteurs clés pour la compétitivité d’un pays et participent au score de 85,6 sur 100 récolté par les Etats-Unis, d’autres aspects plus négatifs ne doivent pas être négligés : « le rapport dénonce aussi un « affaiblissement du tissu social et une détérioration du contexte sécuritaire ». Les États-Unis se classent ainsi à la 56ème place avec un taux d'homicides 5 fois plus élevé que le taux moyen des économies avancées. Le WEF souligne aussi le mauvais score dans le domaine de la santé, avec une espérance de vie en bonne santé de 67,7 ans (46ème place), soit trois ans de moins que la moyenne des économies avancées et six ans de moins qu'à Singapour et au Japon. »