La production agricole a forcément un impact environnemental. Par définition même cultiver c’est avoir une influence sur les ressources naturelles pour les transformer en nourriture. Il n’en demeure pas moins essentiel de décortiquer les conséquences de nos pratiques sur l’environnement pour essayer de limiter au maximum les effets négatifs. Surtout quand l’on sait que le modèle alimentaire français est responsable d’un quart des émissions à effet de serre, soit autant que le transport ou le logement.
Dans un communiqué publié à ce sujet l’Agence de l’environnement et de la maitrise de l’énergie (Ademe) détaille les différents effets. « La production agricole occupe plus de la moitié de la surface de la France. La France produit l'essentiel des aliments qu'elle consomme. 54 % de la surface du pays est dédiée à l'agriculture, dont seulement 4,5 % en « bio » » commence le texte.
L’agence liste les méthodes de production qui ont le plus de conséquences négatives sur l’environnement. D’abord, « les engrais et pesticides épandus dans les champs modifient la composition du sol et perturbent la vie de la faune. On observe une diminution du nombre d'insectes dans le sol. Ils sont pourtant essentiels pour maintenir une bonne aération du sol et très utiles pour apporter de la matière organique afin de rendre le sol fertile. »
Les pollutions de l’air par particules fines issues des engins agricoles, des serres ou bâtiments chauffées sont montrées du doigt par le texte.
Par ailleurs, des effets quasiment obligatoires de l’élevage pourraient être au moins limités par une meilleure gestion. C’est le cas notamment des « effluents d'élevage, très concentrés en matière organique, engendrent une pollution des sols aux nitrates s'ils ne sont pas gérés correctement. »
Enfin, la gestion des ressources naturelles en général et de l’eau en particulier sont soulignés. « La consommation d'eau pour l'irrigation des champs cultivés modifie l'équilibre des nappes phréatiques et de certains cours d'eau, et entre en concurrence avec d'autres usages à certaines périodes de l'année. »
Dans un communiqué publié à ce sujet l’Agence de l’environnement et de la maitrise de l’énergie (Ademe) détaille les différents effets. « La production agricole occupe plus de la moitié de la surface de la France. La France produit l'essentiel des aliments qu'elle consomme. 54 % de la surface du pays est dédiée à l'agriculture, dont seulement 4,5 % en « bio » » commence le texte.
L’agence liste les méthodes de production qui ont le plus de conséquences négatives sur l’environnement. D’abord, « les engrais et pesticides épandus dans les champs modifient la composition du sol et perturbent la vie de la faune. On observe une diminution du nombre d'insectes dans le sol. Ils sont pourtant essentiels pour maintenir une bonne aération du sol et très utiles pour apporter de la matière organique afin de rendre le sol fertile. »
Les pollutions de l’air par particules fines issues des engins agricoles, des serres ou bâtiments chauffées sont montrées du doigt par le texte.
Par ailleurs, des effets quasiment obligatoires de l’élevage pourraient être au moins limités par une meilleure gestion. C’est le cas notamment des « effluents d'élevage, très concentrés en matière organique, engendrent une pollution des sols aux nitrates s'ils ne sont pas gérés correctement. »
Enfin, la gestion des ressources naturelles en général et de l’eau en particulier sont soulignés. « La consommation d'eau pour l'irrigation des champs cultivés modifie l'équilibre des nappes phréatiques et de certains cours d'eau, et entre en concurrence avec d'autres usages à certaines périodes de l'année. »