Comme en septembre 2018 à l’ouverture de l’Assemblée Générale des Nations Unies, Emmanuel Macron a affirmé aujourd’hui vouloir mettre l’agenda commercial au service de l’agenda climatique. « Comment peut-on encore croire Emmanuel Macron sur sa volonté de réguler le commerce international pour préserver le climat ? Il y a trois mois, il soutenait à bout de bras le Ceta à l’Assemblée nationale, alors que cet accord permettra au Canada d’exporter massivement vers l’Union européenne un des pétroles les plus sales de la planète : les sables bitumineux », rappelle Clément Sénéchal.
Comme en septembre 2018 à l’ouverture de l’Assemblée Générale des Nations Unies, Emmanuel Macron a affirmé aujourd’hui vouloir mettre l’agenda commercial au service de l’agenda climatique. « Comment peut-on encore croire Emmanuel Macron sur sa volonté de réguler le commerce international pour préserver le climat ? Il y a trois mois, il soutenait à bout de bras le Ceta à l’Assemblée nationale, alors que cet accord permettra au Canada d’exporter massivement vers l’Union européenne un des pétroles les plus sales de la planète : les sables bitumineux », rappelle Clément Sénéchal.