L’objectif paraissait déjà difficile à tenir. Une étude publiée par Proceedings of the National Academy of Science est alarmante en montrant que même si le réchauffement climatique est maintenu à 2°C comme le prévoir l’Accord de Paris, une réaction en chaine terrible pourrait rendre la Terre invivable. « Si les calottes polaires continuent de fondre, les forêts d’être décimées et les émissions de gaz à effet de serre de battre chaque année des records, la Terre va franchir un point de rupture, concluent des chercheurs de l’université de Copenhague, de l’Université nationale australienne et de l’Institut de recherche de Potsdam sur les effets du changement climatique en Allemagne. Les chercheurs ont identifié une dizaine de facteurs de risques interconnectés qui pourraient provoquer une réaction en chaîne en trois temps. Avec des puits de carbone affaiblis, des forêts qui rétrécissent et une hausse des températures comprises entre 1 et 3°C, la calotte glaciaire recouvrant la terre de l’Antarctique ouest et du Groenland, les glaciers des Alpes et la Grande barrière de corail seraient les premiers menacés » rapporte 20 Minutes.
Si les glaces fondent comme ils l’’anticipent, le niveau de la mer devrait monter de vingt-cinq mètres. Or, « deux-tiers des mégalopoles sont installées moins de 10 mètres au-dessus du niveau de la mer, tout comme les plaines agricoles qui les nourrissent.
Comment empêcher ce scénario catastrophe ? Réduire les émissions ne suffit pas. Il est nécessaire de changer immédiatement de mode de vie pour protéger la Terre, ont averti les chercheurs. Ils préconisent une meilleure gestion des sols, des pratiques agricoles plus respectueuses de l’environnement, la protection des terres et des côtes ou encore le développement de techniques de capture du CO2, planter des arbres et arrêter la déforestation. En cas d’échec, Hans Joachim Schellnhuber, coauteur et directeur du Potsdam Institute for Climate Impact Research, avait précédemment estimé qu’une Terre à +4 ou +5°C ne pourrait pas abriter plus d’un milliard de personnes » conclue le quotidien gratuit.
Si les glaces fondent comme ils l’’anticipent, le niveau de la mer devrait monter de vingt-cinq mètres. Or, « deux-tiers des mégalopoles sont installées moins de 10 mètres au-dessus du niveau de la mer, tout comme les plaines agricoles qui les nourrissent.
Comment empêcher ce scénario catastrophe ? Réduire les émissions ne suffit pas. Il est nécessaire de changer immédiatement de mode de vie pour protéger la Terre, ont averti les chercheurs. Ils préconisent une meilleure gestion des sols, des pratiques agricoles plus respectueuses de l’environnement, la protection des terres et des côtes ou encore le développement de techniques de capture du CO2, planter des arbres et arrêter la déforestation. En cas d’échec, Hans Joachim Schellnhuber, coauteur et directeur du Potsdam Institute for Climate Impact Research, avait précédemment estimé qu’une Terre à +4 ou +5°C ne pourrait pas abriter plus d’un milliard de personnes » conclue le quotidien gratuit.